Anne Wiazemsky a connu le Père Deau au Colegio Francia de Caracas où il était son professeur de Français-Latin. Une amicale relation s'est alors établie et a perduré, bien qu'épisodiquement, jusqu'à la mort du prêtre. L'auteure fait le récit des échanges épistolaires et des rencontres avec lui, remontant ainsi le cours de sa propre vie. Si à n'en pas douter le Père Deau a compté pour Anne Wiazemsky et n'en est pas moins un saint homme, le lecteur reste seulement spectateur de cette complicité et peu concerné par leurs souvenirs très personnels. Bien écrit cependant.
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