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Critique de Cronos
Un nigoun est « un terme qui sert à se référer aux chants religieux juifs et aux airs qui y sont liés ».
Dans ce recueil de poésies sorti à titre posthume, Elie Wiesel nous entraîne dans des contes à la sagesse ancestrale. C'est simple, court, ça tient presque du haïku, c'est accessible et profond à la fois, c'est une vraie bonne découverte, comme si le temps avait été suspendu pendant ma lecture. Pour être franc je ne suis pas un grand fan de poésie, j'ai des difficultés à comprendre les licences poétiques et autres tournures de phrases mais ici même un enfant pourrait comprendre toute la beauté du texte.
La lecture laisse comme un silence, ce que je trouve positif car ça incite à la réflexion. Les phrases sont courtes et laisse le temps au lecteur de réfléchir, le texte est fort malgré tout, on sent la souffrance que l'auteur traduit en poésie et en quelques images qui valent tous les mots (et les maux) du monde. L'histoire qu'il raconte est celle d'un « rabbin aux prises avec une décision impossible à prendre concernant le sort d'un ghetto juif », à la veille de la fête de Pourim, écrira Elisha Wiesel dans la postface, ce qui est un excellent résumé.
Le livre contient un glossaire expliquant de façon concise ce que soit les termes en hébreu, un plus appréciable.
Dans ce recueil de poésies sorti à titre posthume, Elie Wiesel nous entraîne dans des contes à la sagesse ancestrale. C'est simple, court, ça tient presque du haïku, c'est accessible et profond à la fois, c'est une vraie bonne découverte, comme si le temps avait été suspendu pendant ma lecture. Pour être franc je ne suis pas un grand fan de poésie, j'ai des difficultés à comprendre les licences poétiques et autres tournures de phrases mais ici même un enfant pourrait comprendre toute la beauté du texte.
La lecture laisse comme un silence, ce que je trouve positif car ça incite à la réflexion. Les phrases sont courtes et laisse le temps au lecteur de réfléchir, le texte est fort malgré tout, on sent la souffrance que l'auteur traduit en poésie et en quelques images qui valent tous les mots (et les maux) du monde. L'histoire qu'il raconte est celle d'un « rabbin aux prises avec une décision impossible à prendre concernant le sort d'un ghetto juif », à la veille de la fête de Pourim, écrira Elisha Wiesel dans la postface, ce qui est un excellent résumé.
Le livre contient un glossaire expliquant de façon concise ce que soit les termes en hébreu, un plus appréciable.
