Commençons par le début parce qu'il faut bien l'avouer, je n'ai pas trop aimé.
Pas autant que je l'avais prévu. Pas autant que je l'aurais voulu. J'écris ces lignes et je me dis : "mais n'est-ce pas là tout le génie
De Wilde ?" Parce que bon à peu de choses près, la vie de Dorian Gray n'a été ni ce qu'il avait prévu, ni ce qu'il aurait voulu. Et même pas de loin.
Certes, il y a dans ce livre de ces
aphorismes absolument délicieusement, tout croustillants, dont on reprendrait bien avec une tasse de thé.
Mais argh, Dorian, je ne peux pas l'encadrer.
Pardon.
Et c'est peut-être le but, encore une fois. En revanche, je serais bien aller dîner au Club avec Lord Henry. Quant à Oscar, jamais deux sans trois, son tableau, c'est notre Instagram. Enfin, je crois. Mais chef d'oeuvre ou pas, je persiste, son Dorian, je ne peux pas le voir en peinture.
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