Je pense que nous avons affaire à la couverture la plus trompeuse de l'histoire de l'édition de la littérature de l'imaginaire.
Je connaissais l'auteur pour son roman cyberpunk "
Câblés" et je n'ai pas été surpris de découvrir un sympathique roman de science fiction qui joue la carte du "roman de braquage" dans un monde de space-opera.
Affûté, drôle et efficace, un court roman dont je conserve surtout le souvenir plaisant de sa lecture, et sa capacité à jongler habilement avec les genres de l'imaginaire
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