Soyons honnête, je n'avais pas envie, mais pas envie du tout de lire une histoire de prison (déjà que je n'ai jamais regardé Prison Break !).
Et puis, je lis tout de même les premières pages, puis les suivantes, et puis je me suis surprise à ne plus vouloir lâcher ce roman qui monte en adrénaline tout au long des 24 heures de l'action (ça vous rappelle une autre série ?!)
Les personnages sont fouillés et attachants, même si leur vocabulaire est crue et franchement répétitif ; les fantasmes masculins des prisonniers seraient à pleurer de banalités si ce n'était pas si tragique.
Une conclusion : comme le héros, pouvons-nous vraiment en "avoir rien à fou..." si nous sommes encore un peu humain ?
L'image que je retiendrai :
la folie pathologique du directeur, cause du chaos final. Mais chacun des chefs de groupes se rejettent la responsabilité, sans savoir ni comprendre qu'ils ont été manipulés
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