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Critique de Gwen21
L'une de mes grandes déceptions littéraires de ces dernières années. Alors que j'avais dévoré "Ambre" du même auteur en quelques jours, ce pavé m'est resté sur l'estomac.
Je n'ai pas goûté la sauce "Dr Quinn, femme médecin" dont Kathleen Winsor a assaisonné son épopée far-west ; j'ai encore moins accroché à tout l'imbroglio des montages et magouilles financiers auxquels se prêtent les personnages masculins du roman. Les figures féminines, quant à elles, m'ont paru reléguées au deuxième plan, sans profondeur, sans possibilité d'émouvoir ou de séduire le lecteur.
Seul point positif : les descriptions des grands espaces de l'Ouest américain inviolés et vertigineux de perspectives, dans toutes les acceptions du terme.
Je n'ai pas abandonné ma lecture cependant, buvant jusqu'à la lie ce grand concentré d'ennui.
Je n'ai pas goûté la sauce "Dr Quinn, femme médecin" dont Kathleen Winsor a assaisonné son épopée far-west ; j'ai encore moins accroché à tout l'imbroglio des montages et magouilles financiers auxquels se prêtent les personnages masculins du roman. Les figures féminines, quant à elles, m'ont paru reléguées au deuxième plan, sans profondeur, sans possibilité d'émouvoir ou de séduire le lecteur.
Seul point positif : les descriptions des grands espaces de l'Ouest américain inviolés et vertigineux de perspectives, dans toutes les acceptions du terme.
Je n'ai pas abandonné ma lecture cependant, buvant jusqu'à la lie ce grand concentré d'ennui.
