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Critique de AmandaM
Je n'ai pas apprécié ma lecture, mis à part le début et la fin. Parce que l'intrigue était bonne, la psychologie aussi, le dénouement pareil.
Malheureusement, ce n'est pas ce sur quoi l'auteur a mis l'accent. Entre le prologue et l'épilogue, la lecture a été laborieuse, ennuyante et j'avais juste hâte de finir pour découvrir la fin (que l'on devine dés le début mais je voulais quand même confirmer).
Le problème vient de l'écriture déjà. Je n'ai rien contre la vulgarité, ni contre les scènes explicites de BDSM, ni contre les sujet controversés, mais là je n'adhère pas du tout. Si l'auteur a voulu nous prouver qu'il connait l'éventail de vocabulaire argotique concernant l'anatomie masculine, c'est gentil, mais je le connais aussi et je ne vois pas l'intérêt d'assommer le lecteur de la sorte. Assommer est justement le mot. Aucune finesse, un récit livré avec de gros sabots. Car tout le milieu du livre, donc 90 % plus ou moins, n'a aucun intérêt et est très mal écrit. C'est une suite de scènes répétitives. Toujours la même chose, toujours les même phrases courtes, les même pratiques sans grande fantaisie, à un rythme épuisant, ça défile sans queue ni tête (enfin si pour le coup de la queue on en mange), sans détails, un peu comme un résumé grossier, une énumération, une liste de courses. L'érotisme est inexistant. L'acte est retranscrit, mais pas le ressenti ou les sensations, ou alors c'est survolé. Si l'auteur a voulu rendre un effet de style avec cette narration hachée et rapide, c'est raté.
Deuxième point qui m'a dérangée, le manque de contexte et de crédibilité. Pierre se fait enlever, son ravisseur lui dit : voilà, maintenant c'est comme ça. Et Pierre se soumet parce qu'il "n'a pas le choix" ? Il n'essaie pas de se battre ? Il n'a pas de poings pour se défendre ? Jamais il n'est dit que le ravisseur le menace avec une arme, alors quoi ? Qui accepterait sans broncher de tels traitements ? Ensuite vient Romain, ils sont deux mecs pour se défendre, ils pourraient maîtriser un seul homme non armé non ? Jamais ils n'essaient.
Ensuite, il n'y a pas d'émotions, on ne sait pas se qui se passe entre les dimanches jours de torture et la semaine où les victimes sont « libres ». Il n'y a aucun dialogues, pas d'échange entre les victimes, juste les ordres aboyés du ravisseur. Par chance il y a les petits interludes entre chaque chapitre avec le développement personnel de Pierre, mais c'est trop peu malheureusement.
Je n'aime pas être si cinglante mais c'est mon avis personnel.
Malheureusement, ce n'est pas ce sur quoi l'auteur a mis l'accent. Entre le prologue et l'épilogue, la lecture a été laborieuse, ennuyante et j'avais juste hâte de finir pour découvrir la fin (que l'on devine dés le début mais je voulais quand même confirmer).
Le problème vient de l'écriture déjà. Je n'ai rien contre la vulgarité, ni contre les scènes explicites de BDSM, ni contre les sujet controversés, mais là je n'adhère pas du tout. Si l'auteur a voulu nous prouver qu'il connait l'éventail de vocabulaire argotique concernant l'anatomie masculine, c'est gentil, mais je le connais aussi et je ne vois pas l'intérêt d'assommer le lecteur de la sorte. Assommer est justement le mot. Aucune finesse, un récit livré avec de gros sabots. Car tout le milieu du livre, donc 90 % plus ou moins, n'a aucun intérêt et est très mal écrit. C'est une suite de scènes répétitives. Toujours la même chose, toujours les même phrases courtes, les même pratiques sans grande fantaisie, à un rythme épuisant, ça défile sans queue ni tête (enfin si pour le coup de la queue on en mange), sans détails, un peu comme un résumé grossier, une énumération, une liste de courses. L'érotisme est inexistant. L'acte est retranscrit, mais pas le ressenti ou les sensations, ou alors c'est survolé. Si l'auteur a voulu rendre un effet de style avec cette narration hachée et rapide, c'est raté.
Deuxième point qui m'a dérangée, le manque de contexte et de crédibilité. Pierre se fait enlever, son ravisseur lui dit : voilà, maintenant c'est comme ça. Et Pierre se soumet parce qu'il "n'a pas le choix" ? Il n'essaie pas de se battre ? Il n'a pas de poings pour se défendre ? Jamais il n'est dit que le ravisseur le menace avec une arme, alors quoi ? Qui accepterait sans broncher de tels traitements ? Ensuite vient Romain, ils sont deux mecs pour se défendre, ils pourraient maîtriser un seul homme non armé non ? Jamais ils n'essaient.
Ensuite, il n'y a pas d'émotions, on ne sait pas se qui se passe entre les dimanches jours de torture et la semaine où les victimes sont « libres ». Il n'y a aucun dialogues, pas d'échange entre les victimes, juste les ordres aboyés du ravisseur. Par chance il y a les petits interludes entre chaque chapitre avec le développement personnel de Pierre, mais c'est trop peu malheureusement.
Je n'aime pas être si cinglante mais c'est mon avis personnel.
