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Critique de MrsLulyReadinger
Par nostalgie, je me suis replongée dans Nana cette semaine. Shojo du début de mon adolescence, les héroïnes de la sagas m'avaient marqué par l'intensité de leurs sentiments et leurs traumatismes. J'avais 11 ans et, en les ayant relus aujourd'hui pour les 27 ans, je m'interroge: Pourquoi mes parents ne vérifiaient-ils pas mes lectures?
Globalement, ce 1er tome n'est pas très bon.
Nana Komatsu est caricaturale, sans grande morale, tout comme les hommes qu'elle fréquente. Toutes ses relations n'existent que pour le cul depuis son adolescence. Hachi n'est pas juste naïve, elle respire la gaminerie, le complexe et le besoin d'être le centre d'attention. Elle pleure dès qu'on ne se plie pas en 4 pour elle, prend des décisions sur un coup de tête et n'a aucune commune mesure de la valeur des objets, mais aussi des autres. Son cerveau ne sait penser à rien d'autre qu'à des relations charnelles. Pour elle, les hommes sont pénis et les femmes une double paire de lèvres.
Les choses s'améliorent très légèrement pour Nana Ozaki, mais son récit est mal amené. Pour faire comprendre son passif, on la voit dans un bain avec son copain et elle se rappelle à son compagnon ses origines pas faciles (le copain est lui-même un orphelin abandonné dans les docks d'un port...). On profite de ce bain pour apprendre la façon dont elle et Ren se sont rencontrés et ont décidé de former un couple. Ce petit flash-back pose 2-3 personnages et c'est tout. Très vite est abordé le thème de la séparation qui, pour le coup, est belle. Une séparation qui s'espère être un au revoir, sans cris, avec amour et quelques larmes qu'on garde pour soi. Nana Ozaki est l'opposé de Hachi: mature, a prendre des décisions pour le bien des autres et ne jamais se montrer vulnérable. Petit bémol du commentaire sur sa raltion. La preuve pour eux que c'est une belle histoire d'amour, c'est que Ren n'a jamais trompé Nana en moins d'un an de relation. Wahou, ça c'est une vraie preuve d'amour, dis donc.
Maintenant, je ne peux pas mettre moins de la moitié à cette saga car elle a une valeur sentimentale trop énorme. Voici donc ma note subjective: 3 étoiles.
Globalement, ce 1er tome n'est pas très bon.
Nana Komatsu est caricaturale, sans grande morale, tout comme les hommes qu'elle fréquente. Toutes ses relations n'existent que pour le cul depuis son adolescence. Hachi n'est pas juste naïve, elle respire la gaminerie, le complexe et le besoin d'être le centre d'attention. Elle pleure dès qu'on ne se plie pas en 4 pour elle, prend des décisions sur un coup de tête et n'a aucune commune mesure de la valeur des objets, mais aussi des autres. Son cerveau ne sait penser à rien d'autre qu'à des relations charnelles. Pour elle, les hommes sont pénis et les femmes une double paire de lèvres.
Les choses s'améliorent très légèrement pour Nana Ozaki, mais son récit est mal amené. Pour faire comprendre son passif, on la voit dans un bain avec son copain et elle se rappelle à son compagnon ses origines pas faciles (le copain est lui-même un orphelin abandonné dans les docks d'un port...). On profite de ce bain pour apprendre la façon dont elle et Ren se sont rencontrés et ont décidé de former un couple. Ce petit flash-back pose 2-3 personnages et c'est tout. Très vite est abordé le thème de la séparation qui, pour le coup, est belle. Une séparation qui s'espère être un au revoir, sans cris, avec amour et quelques larmes qu'on garde pour soi. Nana Ozaki est l'opposé de Hachi: mature, a prendre des décisions pour le bien des autres et ne jamais se montrer vulnérable. Petit bémol du commentaire sur sa raltion. La preuve pour eux que c'est une belle histoire d'amour, c'est que Ren n'a jamais trompé Nana en moins d'un an de relation. Wahou, ça c'est une vraie preuve d'amour, dis donc.
Maintenant, je ne peux pas mettre moins de la moitié à cette saga car elle a une valeur sentimentale trop énorme. Voici donc ma note subjective: 3 étoiles.
