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Critique de Cyrlight


Dans ce troisième tome de Ma petite maîtresse, Chôko et Masayuki forment (en théorie) un couple, mais se disputent sans cesse, tandis qu'un autre ancien domestique de la famille Kuzé réapparaît dans la vie de la jeune femme.

Après un deuxième tome centré sur la virginité de Chôko, celui-ci se concentre sur ses règles. Si, si, je vous assure, il en est question à maintes reprises dans les premières dizaines de pages. Passionnant, n'est-ce pas ? Et si je vous dis qu'après, on enchaîne avec les suppositoires ? À se tordre de rire, non ?

Je suppose que ça l'est peut-être pour quelqu'un qui adhère à ce genre d'humour, mais malheureusement (ou heureusement…) ce n'est pas mon cas. Ce manga est de plus en plus lourd, grotesque et consternant. Et le scénario est loin de remonter le niveau.

Avec Chôko qui se souvient soudain de l'existence d'un séduisant domestique qui travaillait autrefois pour sa famille, on ne s'attend absooolument pas à le voir faire irruption dans l'histoire, ni à tenter d'interférer entre Masayuki et elle.

Et comme Makié et Suo avant lui, le nouveau venu passe presque du statut de rival à celui de meilleur ami en l'espace d'un tome, tout cela pour ne servir quasiment à rien. Les personnages sont dans l'ensemble assez inintéressants, ils n'ont ni caractère ni psychologie travaillés, et les deux protagonistes que sont Chôko et Masayuki continuent à se contredire eux-mêmes d'une page à l'autre.

Je ne poursuivrai pas ce manga, et je ne le recommande pas, sauf si vous aimez rire des histoires d'un ridicule affligeant, car c'est tellement mauvais que c'en devient presque drôle, par moments.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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