j'aime être cernée de poèmes et me donner de la peine pour trouver une issue
S'il y a encore un virus au paradis,
Et si tu alertes une fois encore
Où iras-tu ?
(Hommage à Li Wenliang)
Le temps qui m'a été alloué compte déjà pour la moitié d'une vie
Ma mère en a reçu qielques fragments qui lui ont donné des cheveux blancs
Seules exultent la faune et la flore
Qui ont réuni la somme d'un printemps
Il n'y a pas de virus plus terrible que celui d'êtrz condamné pour sa parole
Il n'y a pas monde plus laid que celui qui ne distingue pas le bien du mal
(Hommage à Li Wenliang)