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Critique de Alfaric
Dans les tomes 4, 5 et 6, la team Askeladd est en cavale dans la campagne anglaise et les montagnes du Pays de Galles avec les troupes de Thorkell à leurs trousses : la frontière entre le cape et d'épée et le western spaghetti est plus d'une fois allègrement franchie… ^^
Dans ce tome 3, Askeladd déclenche un feu de forêt ce qui permet dans la confusion à Thorfinn de récupérer le prince Knut, Ragnar le gentil géant qui le sert de tuteur et Willybad son prêtre alcoolique. Thorfinn est chargé de la protection de son altesse : entre notre badboy badass et le prince doux, paisible et efféminé le courant ne passe pas du tout ! ^^
Le dernier chapitre est terrible puisque obligé de retourner le territoire ennemi au lieu de contourner le Pays de Galles par les terres, Askeladd ordonne le massacre des 62 habitants du village dans lequel ils ont trouvé refuge au coeur d'une tempête de neige… Mais quand on massacre des innocents, il y a toujours des survivants : une jeune fille qui était sortie admirer la bague qu'elle avait volée au marché est épargnée par le destin qui a besoin d'elle pour continuer son inexorable marche !
On sent qu'Askeladd joue de plus en plus sa propre partition : et la graine de la sédition commence à germer et seul Björn qui le suit depuis toujours lui fait confiance à défaut d'être dans la confidence. Car si les flashbacks nous montrent un prince de remplacement terrorisé par un père cruel et impitoyable, et traumatisé par le massacre de ses frères aînés, on nous montre aussi Askeladd sous un autre visage… le pillard sans foi ni loi serait-il un patriote passionné ???
Personnage ambivalents à la Sergio Leone, thèmes humanistes à la Sergio Leone, situation à la Sergio Leone, narration à la Sergio Leone… Passé un cap, j'avais l'impression d'être quelque part dans le film "Et pour quelque dollars de plus" transposé au Moyen-Âge, donc je n'ai aucunement boudé mon plaisir avec ce tome de transition... blink
Dans ce tome 3, Askeladd déclenche un feu de forêt ce qui permet dans la confusion à Thorfinn de récupérer le prince Knut, Ragnar le gentil géant qui le sert de tuteur et Willybad son prêtre alcoolique. Thorfinn est chargé de la protection de son altesse : entre notre badboy badass et le prince doux, paisible et efféminé le courant ne passe pas du tout ! ^^
Le dernier chapitre est terrible puisque obligé de retourner le territoire ennemi au lieu de contourner le Pays de Galles par les terres, Askeladd ordonne le massacre des 62 habitants du village dans lequel ils ont trouvé refuge au coeur d'une tempête de neige… Mais quand on massacre des innocents, il y a toujours des survivants : une jeune fille qui était sortie admirer la bague qu'elle avait volée au marché est épargnée par le destin qui a besoin d'elle pour continuer son inexorable marche !
On sent qu'Askeladd joue de plus en plus sa propre partition : et la graine de la sédition commence à germer et seul Björn qui le suit depuis toujours lui fait confiance à défaut d'être dans la confidence. Car si les flashbacks nous montrent un prince de remplacement terrorisé par un père cruel et impitoyable, et traumatisé par le massacre de ses frères aînés, on nous montre aussi Askeladd sous un autre visage… le pillard sans foi ni loi serait-il un patriote passionné ???
Personnage ambivalents à la Sergio Leone, thèmes humanistes à la Sergio Leone, situation à la Sergio Leone, narration à la Sergio Leone… Passé un cap, j'avais l'impression d'être quelque part dans le film "Et pour quelque dollars de plus" transposé au Moyen-Âge, donc je n'ai aucunement boudé mon plaisir avec ce tome de transition... blink
