Une histoire banale à souhait. Un homme, une femme, ils s'aiment, puis ne s'aiment plus.
Zambra choisit toujours des personnages secondaires, dont personne n'aurait parlé, s'il ne les avaient placés en protagonistes de ses romans.
Et voilà, j'ai préféré, de loin, son aussi court roman intitulé "Personnages secondaires", qui présentait cette dimension supplémentaire de personnes qui, dans leur banalité, avaient subi la dictature et l'avaient acceptée ou non.
Ici, il n'y a rien de plus que l'histoire d'amour sauf qu'elle est, joliment, présentée comme un cycle, que l'on devine infini.
Ce livre s'inscrit certainement dans l'imaginaire de cet auteur mais il faudrait en lire davantage pour mieux le cerner.
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