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Critique de Medulla
Première déception de cette rentrée littéraire et étonnement pour le coup.
J'attendais avec plaisir ce nouvel opus d'Alice Zeniter pour retrouver son talent de conteuse. Il est indéniable que l'auteur s'est intéressée à son sujet : l'engagement politique au 21ème siècle et les luttes qui en découlent. Dark web, construction d'un discours politique, perte des valeurs se devinent en filigrane dans les portraits d'Antoine et de L.
Mais au bout de 140 pages, à lire des chapitres entiers crépis de jargons, de mots en anglais, d'intégration de typo, de symboles, je me suis lassée de ce corps à corps avec un texte et des personnages qui manquent, à mes yeux, cruellement d'incarnation.
Une déception pour moi mais je suis sûre que l'ouvrage trouvera un lectorat plus aguerri et donc plus attentif que moi.
J'attendais avec plaisir ce nouvel opus d'Alice Zeniter pour retrouver son talent de conteuse. Il est indéniable que l'auteur s'est intéressée à son sujet : l'engagement politique au 21ème siècle et les luttes qui en découlent. Dark web, construction d'un discours politique, perte des valeurs se devinent en filigrane dans les portraits d'Antoine et de L.
Mais au bout de 140 pages, à lire des chapitres entiers crépis de jargons, de mots en anglais, d'intégration de typo, de symboles, je me suis lassée de ce corps à corps avec un texte et des personnages qui manquent, à mes yeux, cruellement d'incarnation.
Une déception pour moi mais je suis sûre que l'ouvrage trouvera un lectorat plus aguerri et donc plus attentif que moi.
