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Critique de Dionysos89
Avec le Loi du Préau, le neuvième tome de la série Titeuf, l'auteur suisse Zep continue à redécouvrir la société de son temps à travers les yeux d'un enfant. Que ce soit pour les parcs d'attraction, la sexualité ou le racket, Titeuf a toujours une combine ou un bon mot pour parer à toute situation ou commenter toute action qu'il juge incongrue.
Même si la violence est toujours bien présente et pas forcément à bon escient, on retrouve une certaine naïveté dans ce tome-ci : la présence en baisse de la famille de Titeuf y est peut-être pour quelque chose, car ainsi on tente de s'éloigner des problèmes sociaux du quotidien comme le chômage, la mort ou "l'abandon familial". En se cloisonnant au maximum à la cour de rentrée, on apprécie alors d'autant plus le petit personnage à la mèche blonde, cancre, querelleur, mais amoureux.
Un bon album de rattrapage donc, après un précédent en demi-teinte, et ce malgré un manque cruel de renouvellement dans la vie du jeune héros depuis l'arrivée de sa petite soeur (qu'on ne voit ici seulement pour servir d'animal de compagnie à Titeuf...). À voir si la série va savoir se renouveler efficacement dans les tomes suivants...
Même si la violence est toujours bien présente et pas forcément à bon escient, on retrouve une certaine naïveté dans ce tome-ci : la présence en baisse de la famille de Titeuf y est peut-être pour quelque chose, car ainsi on tente de s'éloigner des problèmes sociaux du quotidien comme le chômage, la mort ou "l'abandon familial". En se cloisonnant au maximum à la cour de rentrée, on apprécie alors d'autant plus le petit personnage à la mèche blonde, cancre, querelleur, mais amoureux.
Un bon album de rattrapage donc, après un précédent en demi-teinte, et ce malgré un manque cruel de renouvellement dans la vie du jeune héros depuis l'arrivée de sa petite soeur (qu'on ne voit ici seulement pour servir d'animal de compagnie à Titeuf...). À voir si la série va savoir se renouveler efficacement dans les tomes suivants...
