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Critique de Jmolo
Mon Dieu... quelle soupe, voire quel gloubiboulga !
On croirait un livre écrit par un ordinateur, tant le scénario est invraissemblable et le style alambiqué...
L'intrigue nous emmène dans des univers totalement hétéroclites, tels que, un campus universitaire où se côtoient hackers informaticiens, gothiques drogués, chercheurs biologistes, en passant par des sous-sols de club sado-maso homosexuels et de restaurants chinois, l'univers de la police alcoolique et celui du FBI mafieu, complice des narcotrafiquants colombiens, jusqu'à une invraissemblable incursion dans le domaine de la psychiatrie à propos d'un syndrome (inexistant) qui consustitue la colonne vertébrale de cet incrédible méli-mélo...
Le déroulement du scénario est évidemment jalonné de cadavres. Au dénouement, seul le meurtrier, dont il est facile de deviner l'identité dès le début du livre, reste en vie...
De plus l'auteur éprouve le besoin de nous faire un point sur l'enquête toutes les vingt pages, au cas où nous n'aurions pas compris... d'où des redites (vraiment lassantes) en permanence !
Ivan Zinberg est un policier en mal de reconversion dans la littérature. A chacun son métier : le sien c'est policier !
On croirait un livre écrit par un ordinateur, tant le scénario est invraissemblable et le style alambiqué...
L'intrigue nous emmène dans des univers totalement hétéroclites, tels que, un campus universitaire où se côtoient hackers informaticiens, gothiques drogués, chercheurs biologistes, en passant par des sous-sols de club sado-maso homosexuels et de restaurants chinois, l'univers de la police alcoolique et celui du FBI mafieu, complice des narcotrafiquants colombiens, jusqu'à une invraissemblable incursion dans le domaine de la psychiatrie à propos d'un syndrome (inexistant) qui consustitue la colonne vertébrale de cet incrédible méli-mélo...
Le déroulement du scénario est évidemment jalonné de cadavres. Au dénouement, seul le meurtrier, dont il est facile de deviner l'identité dès le début du livre, reste en vie...
De plus l'auteur éprouve le besoin de nous faire un point sur l'enquête toutes les vingt pages, au cas où nous n'aurions pas compris... d'où des redites (vraiment lassantes) en permanence !
Ivan Zinberg est un policier en mal de reconversion dans la littérature. A chacun son métier : le sien c'est policier !
