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Critique de Barnegat


1941, en août. André (pas encore) Bourvil, locataire des Jambier au 45 rue Poliveau quartier du Jardin-des-Plantes jeune chansonnier et admirateur de Fernandel - avant d'être cruellement déçu quelques décennies plus tard, croise Gabin Grangil, artiste-peintre dont les oeuvres sont appréciées par les Allemands, et file sis, 12 rue du Four. le meilleur lupanar de Paname, tenu par Mme Lulu. de son côté Louis de Funès, pianiste de bar, et, également locataire dans le même immeuble de cette rue Poliveau a des soucis avec son patron, qui est artisan fourreur. L'un des meilleurs de Paris.
Un attentat plus tard - la mort d'un officier allemand - Station Barbès, commis par des résistants jeunes communistes, vont les plonger dans les aventures dangereuses et surtout mortelles.
Roman historico-comique. Des pages qui rappellent les plumes de Frédéric Dard et son compère San-Antonio écrivains importants au Fleuve.
Après que les résistants et André et Louis se sont extirpés de Paris - via les égouts - tout s'emballe, tout se précipite, tout se hâte, tout s'accélère comme si, il fallait conclure l'aventure au plus vite.
Savoureux, distrayant, agréable à lire.
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