Ce tome est le « mal-aimé » de la saga des Rougon-Macquart : c'est le moins édité car le moins vendu. Et, effectivement, il tranche par rapport aux autres tomes car il y a moins d'action. Tout est en discussion, mots, coups bas, discours, etc car ce tome illustre la vie politique du Second Empire. Il est vrai qu'on peut donc facilement décrocher de sa lecture. Mais, au final, on a affaire à un ersatz de « Ridicule », ce que j'ai plutôt apprécié. Sa place dans les limbes des Rougon-Macquart est-elle méritée ? Je n'en suis pas sûr, peut-être ce tome est-il injustement dévalorisé.
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