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Critique de Livrepassion16
Chroniques de livres parues dans les journaux des années 1860 et quelques.
Je retiens surtout que Zola s'opposait à la pensée qui devait correspondre à l'intelligentsia de l'époque.
Ses critiques faisaient souvent scandale. Il dit tout haut ce qui déteste et le titre du livre, mes haines, le confirme,
C'était un précurseur, sa façon de penser et d'aimer certains auteurs n'était pas comprise par ses contemporains.
J'ai surtout aimé le chapitre consacré au livre, la mère d'Eugène Pelletan où il relève le statut de la femme. C'était un féministe avant l'heure. Dans ce chapitre, il souligne le fait que le couple doit avancer ensemble, ainsi il sera plus fort. La femme doit donc être l'égale de l'homme et non pas être reléguée dans les tâches domestiques ou éducatives.
J'avoue que les autres chroniques m'ont moins intéressées.
Je retiens surtout que Zola s'opposait à la pensée qui devait correspondre à l'intelligentsia de l'époque.
Ses critiques faisaient souvent scandale. Il dit tout haut ce qui déteste et le titre du livre, mes haines, le confirme,
C'était un précurseur, sa façon de penser et d'aimer certains auteurs n'était pas comprise par ses contemporains.
J'ai surtout aimé le chapitre consacré au livre, la mère d'Eugène Pelletan où il relève le statut de la femme. C'était un féministe avant l'heure. Dans ce chapitre, il souligne le fait que le couple doit avancer ensemble, ainsi il sera plus fort. La femme doit donc être l'égale de l'homme et non pas être reléguée dans les tâches domestiques ou éducatives.
J'avoue que les autres chroniques m'ont moins intéressées.
