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Critique de Allantvers
Ecrites en marge des Rougon Macquart, plutôt vers la fin de la période, ces deux nouvelles viennent explorer d'autres faces tout aussi crues et sombres de l'âme humaine, ce terrain d'exploration de prédilection de l'ami Emile:
D'un côté, une histoire de cruauté sado-maso assez sordide d'autant plus frappante que c'est une jeune fille qui porte cette délicieuse personnalité en faisant porter le poids de sa lubricité à un pauvre gars énamouré qu'elle pousse au crime.
De l'autre, la descente aux abîmes d'un sémillant militaire qui tombe à de minables combines pour maintenir à flot son train de vie d'homme devenu velléitaire et dévoré par ses vices.
Cruel, clinique, intransigeant : on retrouve là l'oeil perçant et la plume précise de Zola, que je préfère pourtant dans l'ampleur de ses grands romans que sous ce format court.
D'un côté, une histoire de cruauté sado-maso assez sordide d'autant plus frappante que c'est une jeune fille qui porte cette délicieuse personnalité en faisant porter le poids de sa lubricité à un pauvre gars énamouré qu'elle pousse au crime.
De l'autre, la descente aux abîmes d'un sémillant militaire qui tombe à de minables combines pour maintenir à flot son train de vie d'homme devenu velléitaire et dévoré par ses vices.
Cruel, clinique, intransigeant : on retrouve là l'oeil perçant et la plume précise de Zola, que je préfère pourtant dans l'ampleur de ses grands romans que sous ce format court.
