Déjà beaucoup de critiques ici pour ce roman, la mienne ne sera pas originale.
C'est un roman que je classerais volontiers dans la catégorie "initiatique". Car oui, on accompagne une tranche de l'enfance d'une gamine d'un quartier pauvre à proximité de Dachau pendant la guerre.
Et énormément de temps forts qu'on s'attend à rencontrer : l'école, les parties foot dans la rue les rivalités qui vont avec, la faim... et les bêtises qui ont une portée bien plus grave pendant la guerre. Et l'entraide, et l'amour. Et l'abandon. La survie.
Bref, ce sont 640 pages pendant lesquelles jamais on ne s'ennuie, même si c'est un thème et un contexte maint fois utilisés. Et la place de l'amour des livres et des mots n'y est pas étrangère.
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