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Critique de ladymoonlight
Ma critique porte sur l'édition de 2012 "qui a été mise à jour, enrichie de nouveaux dessins, corrigée et revue par l'auteur, qui a également rédigé une nouvelle préface."
Quelques illustrations avec un clin d'oeil à la Vénus Hottentote. Utile pour combler la curiosité et surtout aux hommes qui pensent que tous les corps des femmes sont justes différents de l'extérieur.
Points négatifs:
1) une fois passé les informations scientifiques, historiques, mythologiques, on peut lire des passages qui ne sont pas objectifs, pas scientifiques, et parfois qui alourdissent la lecture avec l'opinion un peu trop personnelle du Dr Zwang. J'estime que la femme a le droit de disposer de son corps et donc de faire ce qu'elle en veut de la façon qu'elle le veut; c'est à dire: dans le chapitre "morphologie" lorsqu'il parle des differents types de nymphes, il s'exprime "honte à celles qui s'y font poser les anneaux d'esclaves du piercing!" Je ne suis pas adepte de ces piercings mais j'ai été surprise par si peu d'ouverture d'esprit étant donné le titre du livre et son contenu à la fois scientifique, psychologique, critiques sociétales, il aurait pu écrire un petit texte dans la 3eme partie "Esthétique ou la façon de voir les choses" à propos des piercings intimes féminins qui sont détestables à ses yeux, mais qui portent des valeurs esthétiques et psychologiques. Lorsqu'on étudie un sujet on doit aborder même les aspects qui déplaisent avec discernement et objectivité
2) J'ai été déroutée p.121 par le passage sur l'hygiène des femmes et la sécrétion vaginale. Je ne comprends pas ce qu'il a voulu dire en employant des termes d'un autre âge (est-ce de l'ironie, du mépris ou un constat fait sur un échantillon de femmes des années 70): "Un peu d'humidité franchit ce petit grillage: chez la femme "à l'état nature" qui couche toute nue, elle s'évapore au contact de l'air extérieur; chez la femme qui s'habille, cachant son sexe à l'abri du soleil, elle est habituellement recueillie par une piece de tissu appliquée sur le sexe [...] Les civilisées usent assez souvent d'un "protège-slip" doublant la culotte".
Enfin il faut le féliciter pour avoir écrit sur un sujet aussi vaste, on sent la patte du chirurgien.
Quelques illustrations avec un clin d'oeil à la Vénus Hottentote. Utile pour combler la curiosité et surtout aux hommes qui pensent que tous les corps des femmes sont justes différents de l'extérieur.
Points négatifs:
1) une fois passé les informations scientifiques, historiques, mythologiques, on peut lire des passages qui ne sont pas objectifs, pas scientifiques, et parfois qui alourdissent la lecture avec l'opinion un peu trop personnelle du Dr Zwang. J'estime que la femme a le droit de disposer de son corps et donc de faire ce qu'elle en veut de la façon qu'elle le veut; c'est à dire: dans le chapitre "morphologie" lorsqu'il parle des differents types de nymphes, il s'exprime "honte à celles qui s'y font poser les anneaux d'esclaves du piercing!" Je ne suis pas adepte de ces piercings mais j'ai été surprise par si peu d'ouverture d'esprit étant donné le titre du livre et son contenu à la fois scientifique, psychologique, critiques sociétales, il aurait pu écrire un petit texte dans la 3eme partie "Esthétique ou la façon de voir les choses" à propos des piercings intimes féminins qui sont détestables à ses yeux, mais qui portent des valeurs esthétiques et psychologiques. Lorsqu'on étudie un sujet on doit aborder même les aspects qui déplaisent avec discernement et objectivité
2) J'ai été déroutée p.121 par le passage sur l'hygiène des femmes et la sécrétion vaginale. Je ne comprends pas ce qu'il a voulu dire en employant des termes d'un autre âge (est-ce de l'ironie, du mépris ou un constat fait sur un échantillon de femmes des années 70): "Un peu d'humidité franchit ce petit grillage: chez la femme "à l'état nature" qui couche toute nue, elle s'évapore au contact de l'air extérieur; chez la femme qui s'habille, cachant son sexe à l'abri du soleil, elle est habituellement recueillie par une piece de tissu appliquée sur le sexe [...] Les civilisées usent assez souvent d'un "protège-slip" doublant la culotte".
Enfin il faut le féliciter pour avoir écrit sur un sujet aussi vaste, on sent la patte du chirurgien.
