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Critique de OverTheMoonWithBooks
" Amok " et "La ruelle au clair de lune "
2 nouvelles qui partent d'un voyage en bateau. Un narrateur qui au hasard de son voyage rencontre un individu plutôt étrange qui va pourtant vite se confier sur ce qui le tourmente. Et le lecteur se fait un confident tout aussi assidu !
Que la maestria de Zweig commence !! Mesdames et messieurs, approchez, approchez, n'ayez pas peur de faire face aux tourments humains les plus profonds ; qu'ils soient a priori inavouables ou ridicules, mais toujours complexes !
Pour ceux comme moi qui aiment l'écriture de Zweig qui s'apparente à une dissection de l'âme humaine, une fois de plus on est servi.
Avec " Amok ", Zweig revisite à sa façon , et tragiquement bien sûr, le sentiment des colons européens au début du 20ème siècle, avec ce mélange de mépris et de fascination pour les peuples autochtones. Mais que se passe-t-il quand la fierté et la vanité de certains est poussée jusqu'au bout des 2 côtés ? Réponse dans la nouvelle !
Et dans "La ruelle au clair de lune ", j'ai trouvé un peu plus de poésie dans la description de l'environnement, mais j'ai quand même été gêné par l'atmosphère de la maison close à la Maupassant. Certes, l'histoire n'aurait pas pu être celle De Maupassant, mais quand même ! Ici, c'est sur le point de vue d'un homme qu'on se focalise, et l'amour et le vice se conjuguent toujours aussi mal ...
Du Zweig typique, mais pas le meilleur à mon goût.
2 nouvelles qui partent d'un voyage en bateau. Un narrateur qui au hasard de son voyage rencontre un individu plutôt étrange qui va pourtant vite se confier sur ce qui le tourmente. Et le lecteur se fait un confident tout aussi assidu !
Que la maestria de Zweig commence !! Mesdames et messieurs, approchez, approchez, n'ayez pas peur de faire face aux tourments humains les plus profonds ; qu'ils soient a priori inavouables ou ridicules, mais toujours complexes !
Pour ceux comme moi qui aiment l'écriture de Zweig qui s'apparente à une dissection de l'âme humaine, une fois de plus on est servi.
Avec " Amok ", Zweig revisite à sa façon , et tragiquement bien sûr, le sentiment des colons européens au début du 20ème siècle, avec ce mélange de mépris et de fascination pour les peuples autochtones. Mais que se passe-t-il quand la fierté et la vanité de certains est poussée jusqu'au bout des 2 côtés ? Réponse dans la nouvelle !
Et dans "La ruelle au clair de lune ", j'ai trouvé un peu plus de poésie dans la description de l'environnement, mais j'ai quand même été gêné par l'atmosphère de la maison close à la Maupassant. Certes, l'histoire n'aurait pas pu être celle De Maupassant, mais quand même ! Ici, c'est sur le point de vue d'un homme qu'on se focalise, et l'amour et le vice se conjuguent toujours aussi mal ...
Du Zweig typique, mais pas le meilleur à mon goût.
