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Critique de DD78
Le problème avec les romans et les nouvelles aussi courts, c'est que l'on a beaucoup de mal à s'y plonger, et lorsque cela est fait, et bien c'est déjà la fin du livre. Pourtant Zweig fait parti des auteurs qui savent mieux que quinconque plonger immédiatement leurs lecteurs dans une atmosphère, une ambiance, une histoire. Cependant ici la magie a mis du temps à opérer...
Autre frein, autre barrière: la connaissance du dénouement final, ce qui a surement dû engendrer mon manque de motivation. En effet, ce baiser aperçut à la télévision (?) m'a aussitôt éclairé sur les sentiments du vieux professeur à l'égard de Roland, lui-même éperdu d'admiration, touchant à l'homosexualité sans s'en apercevoir, se rassurant auprès d'une femme, la femme de l'autre... La confusion des sentiments quoi ...
Bref, pas mon meilleur Zweig.
Autre frein, autre barrière: la connaissance du dénouement final, ce qui a surement dû engendrer mon manque de motivation. En effet, ce baiser aperçut à la télévision (?) m'a aussitôt éclairé sur les sentiments du vieux professeur à l'égard de Roland, lui-même éperdu d'admiration, touchant à l'homosexualité sans s'en apercevoir, se rassurant auprès d'une femme, la femme de l'autre... La confusion des sentiments quoi ...
Bref, pas mon meilleur Zweig.
