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Critique de nico6358
A la sortie de la lecture de cette nouvelle, l'impression qui me domine est celle d'avoir lu des scènes somptueuses, mais en même temps surjouées.
Simplement peut être pour n'avoir pas connu cette fascination absolue pour un maître, décrite ici.
Mais même s'il est question d'une situation qu'on ne connait pas, la lecture de la nouvelle, elle, est proprement fascinante. Au delà de la situation de départ, c'est la description à travers Roland de nos sentiments lorsque nous perdons nos moyens et nous mettons à fuir devant on ne sait plus quoi, qui tient en haleine.
La description des sentiments du jeune élève, d'une part, mais également celle en creux du professeur.
Cette seconde histoire dans l'histoire prend moins de place, mais est tout aussi finement sentie. Et elle appelle, après avoir tourné la dernière page, à une deuxième lecture durant laquelle on guettera les réactions de cet homme pour mieux saisir sans doute la trame suivie par Zweig.
Simplement peut être pour n'avoir pas connu cette fascination absolue pour un maître, décrite ici.
Mais même s'il est question d'une situation qu'on ne connait pas, la lecture de la nouvelle, elle, est proprement fascinante. Au delà de la situation de départ, c'est la description à travers Roland de nos sentiments lorsque nous perdons nos moyens et nous mettons à fuir devant on ne sait plus quoi, qui tient en haleine.
La description des sentiments du jeune élève, d'une part, mais également celle en creux du professeur.
Cette seconde histoire dans l'histoire prend moins de place, mais est tout aussi finement sentie. Et elle appelle, après avoir tourné la dernière page, à une deuxième lecture durant laquelle on guettera les réactions de cet homme pour mieux saisir sans doute la trame suivie par Zweig.
