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Critique de OSOLEMIO


"Le succès n'était pas son but, son but était la foi" ..

Stefan Zweig fait la biographie de Romain Rolland avec qui il a correspondu de 1910 à 1940 et avec qui, il partageait des idées humanistes.
Romain Rolland était un écrivain, un musicologue, un biographe,un essayiste, un romancier et un dramaturge qui eut comme camarades : Paul Claudel, Charles Péguy et, qui admirait Tolstoï, Beethoven, Shakespeare et des artistes comme Michel Ange.... bref tous ces hommes illustres dont il a tracé la vie sans oublier vers la fin de sa vie : Gandhi pour sa philosophie de la " non violence "!
En 1914 : Romain Rolland a voulu se placer " au dessus de la mêlée " , il a rejeté le nazisme, le fascisme et a tenté de faire partager ses idées humanistes, car il voulait une Europe des peuples et une citoyenneté universelle !
En 1930 : après des années de mépris et de préjugés à son égard, il sera reconnu par le Front populaire et les communistes et, après ses déceptions, sa solitude, ses mises à l'écart : son oeuvre gigantesque lui apportera le Prix Nobel de littérature + le prix de l'Académie ...le fera reconnaître comme un libérateur, un éveilleur : il sera considéré comme "une étoile d'espérance" , un phare, un port, une patrie !
Stefan Zweig qui l'admirait comme son maître à penser, nous propose une biographie très subjective en forme d'hommage et nous livre des extraits des publications de son ami français.

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