Jean d'Ormesson nous raconte ses souvenirs, souvenirs d'enfance, de jeunesse, mais aussi souvenirs des époques qu'il a traversées.
Dans ce roman, il parle surtout de son grand-père, du château familial de Plessis-lez-Vaudreuil, du cousin adopté devenu fermier, bouddhiste, communiste et résistant qui a côtoyé
De Gaulle et d'autres et qui lui a surtout ravi l'amour de sa cousine Marie, qu'il ne retrouvera que des années plus tard.
Ses anecdotes sont toujours drôles, la plupart sont intéressantes, très intéressantes même. Un bémol cependant, les digressions sur le temps, par exemple, relèvent plus du ressenti que de la philosophie.
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