128

Cet ouvrage d’histoire du cinéma italien (première édition de 1995) a connu quatre éditions dont la dernière qui date d’avril 2016 (https://www.babelio.com/livres/Schifano-Le-cinema-italien-de-1945-a-nos-jours/944377/41portee=editeur&desc_smenu=l) a été admirablement commentée par ericbo.



Très concis, mais en apparence complet, idéal pour parfaire sa culture générale et glaner des idées de films à voir. L’index des personnalités du cinéma italien permet de consulter rapidement cet opus de la collection « cinéma128 » (comme 128 pages) dont je possède plusieurs ouvrages. Une brève bibliographie pour ceux qui souhaitent aller plus loin.



Le plan de l’ouvrage est plutôt chronologique comme en témoigne la liste des 4 parties qui le composent :



1) 1945–1948 : paysage après la bataille

2) 1948–1957 : retours à Cinecittà

3) 1958–1968 : les grandes années du cinéma italien

4) 1969–1995 : voyage au bout des années noires

J’aime beaucoup les films de Carlos Saura, notamment « Tango » (1998) et « Iberia » (2005) que j’ai revus récemment en DVD avec mes filles qui se passionnent aussi pour la danse. J’ai donc eu envie de ressortir ce vieux (maintenant) livre.



Très concis, mais en apparence complet, idéal pour parfaire sa culture générale et glaner des idées de films à voir. L’index des personnalités du cinéma espagnol permet de consulter rapidement cet opus de la collection « cinéma128 » (comme 128 pages) dont je possède plusieurs ouvrages. Une brève bibliographie pour ceux qui souhaitent aller plus loin.



Remarquable également l’arrêt sur image de la page 12 sur l’écrivain Vicente Blasco Ibáñez et sa relation au cinéma.



Le plan de l’ouvrage est plutôt chronologique comme en témoigne la liste des 8 chapitres qui le composent :

1) Le cinéma muet (1896–1930)

2) L’avènement du parlant et de la république (1930–1936)

3) Un cinéma en guerre (1936–1939)

4) Les années d’autarcie (1939–1950)

5) Ombres et lumières (1951–1962)

6) Timide libéralisation (1962–1975)

7) La transition (1975–1982)

8) Vers une reconnaissance internationale (1982–1994)



N’hésitez pas à me suggérer des ouvrages qui couvrent la période allant de 1994 à nos jours !

Très concis, mais en apparence complet, idéal pour parfaire sa culture générale et glaner des idées de films à voir.

L'index des réalisateurs permet de consulter rapidement cet opus de la collection « cinéma128 » (comme 128 pages) dont je possède plusieurs ouvrages. Une brève bibliographie pour ceux qui souhaitent aller plus loin dans la découverte du cinéma allemand. Le plan de l'ouvrage est plutôt chronologique comme en témoigne la liste des 10 chapitres qui le composent :



1) Une industrie sous l'Empire (1895–1918)

2) L'écran démoniaque (1918–1925)

3) Dernières années du muet (1926–1929)

4) Le passage au sonore et la fin de la république (1929–1933)

5) Le cinéma selon Goebbels (1933–1945)

6) L'autre Allemagne : les cinéastes en exil (1933–1945)

7) Le cinéma de papa (RFA, 1945-1962)

8) À l'Est (Zone soviétique et RDA, 1945 –1989)

9) Le jeune cinéma allemand (RFA, 1962–1980)

10) Post-scriptum (1980 –1998)

J'ai lu ce livre pour approfondir un module de gériatrie. Je l'ai trouvé très abordable pour une novice en écrit sociologique. Très intéressant il étudie la vieillesse de façon claire et ponctuée. d'exemples

Ce livre fonctionne un peu comme un manuel scolaire, en effet, il retrace et présente certaines des théories sociologiques les plus classiques en matière d ' école.

Après avoir présenté une histoire de l ' école, il aborde les mécanismes de tri scolaire (culture spécifique, langage, pédagogie et évaluation). Ensuite, il s ' intéresse aux élèves et aux familles montrant les stratégies des unes et des autres. Enfin, il fait le point sur les contextes locaux et leurs effets.

Encore une lecture dans cette collection 128, et je serais tentée de dire, encore une déception. Cet ouvrage est certes contraint par son nombre de pages, mais quand un sujet est intraitable en aussi peu de pages, je crois qu’il faut se résigner à ne pas le faire. C’est desservir la collection, et le sujet traité.



Ici, le sujet de la sociologie urbaine est à peine traité ; les auteurs posent des questions très intéressantes mais aucune réponse. On reste dans le flou ; certes, cela peut aider pour une future étude sociologique mais avec un tel ouvrage, on s’attend à découvrir la discipline plutôt ! Avant de se poser des questions, il faut fournir de la matière. De plus, bonjour les sens communs...



De plus, les quelques clefs de compréhension fournies sont bien trop succinctes ; elles sont transposables à tous les domaines de la sociologie. Il est tellement dommage que les auteurs ne nous livrent pas les clefs propres à la sociologie urbaine.



En somme, je déconseille cet ouvrage… C’est un calvaire.

Pour tout ce qui concerne le Nouveau Roman, ce livre est une reprise à la limite du plagiat de celui de Roger-Michel Allemand, Le Nouveau Roman, paru chez Ellipses deux ans plus tôt, en 1996. Il suffit de comparer les deux ouvrages, c'est ahurissant !

Un tout petit bouquin idéal pour une séance de bachotage de dernière minute. Sérieusement, ça ne prend pas deux heures pour faire le tour de chaque thème, et les dates importantes pour chacun étant également des dates que l'on retrouve à chaque chapitre, la répétition est idéale même pour les mémoires les plus récalcitrantes.

Ce n'est pas un ouvrage complet, loin de là, d'abord, il s'arrête aux années 2000 (pour la 2ème édition, et moi j'ai la 1ère qui ne va même pas jusqu'à l'élection de Blair en 1996...), puis, on trouve des notions importantes sans aucune explication, définition, cause/conséquence. C'est une chronologie après tout!

Et puis on trouve un chapitre Irlande, mais rien sur le Royaume-Uni, rien sur l'Écosse et le Pays de Galles. Enfin... l'Écosse est un point essentiel qui aurait mérité au moins un petit chapitre...

L’analyse du récit, de Yves Reuter, est un outil assez complet pour ceux et celles qui doivent s’adonner à cette pratique dans le cadre de leurs études ou de leur travail. S’il peut paraître laborieux à certains dans son approche, à cause du vocabulaire employé, il est tout de même facile d’en extraire l’essence et de l’incorporer à ses propres méthodes de travail. Très utile pou l’analyse des textes littéraires.