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Critiques de Anlor (192)
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Les innocents coupables, tome 3 : La liberté

Les 4 jeunes mettent en place un plan pour s'échapper de nouveau, mais celui-ci doit être sans faille car personne n a réussi à s échapper des marronniers. Jean reste la tête pensante de tout ce projet.

Ce troisième tome est le dernier de la série et je pense que l essentiel est raconté pour ne pas lasser le lecteur. Du point de vue graphique on reste sur une très belle bd fonctionnant parfaitement grâce à des règles de lecture et de positionnement des scènes.
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Les innocents coupables, tome 1 : La fuite

En 1912, des jeunes enfants sont enfermés dans un institut qui doit redresser leur comportement et les aider à réintégrer la société. Mais les conditions dans cette maison de redressement sont horribles. 4 jeunes integrent ce bagne pour de petits larcins,Honoré, Adrien, Miguel et Jean. Ce premier tome s attarde sur les raisons de Jean entre ces quatres murs.

La partie graphique de cette série est plutôt reussi avec de beaux cadrages avec une réflexion sur le sens de lecture et du coup le dynamisme de ce tome. Le scénario est aussi intéressant et donne envie d en savoir plus sur leur devenir.
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Les innocents coupables, tome 3 : La liberté

Critique commune aux trois albums de la série



J’ai emprunté récemment à la médiathèque plusieurs bandes dessinées, dont les trois albums qui composent une série intitulée Les innocents coupables, signée Laurent Galandon au scénario et Anlor à l’illustration. Le résumé présenté en quatrième de couverture du premier album m’avait bien plu :



Janvier 1912. Quatre jeunes parisiens sont conduits dans une lointaine campagne. Condamnés à diverses peines, ils rejoignent la colonie pénitentiaire agricole « Les Marronniers ». Les poulbots vont découvrir et apprendre de nouvelles règles dans ce lieu que l’on appellera plus tard les « bagnes d’enfants ».



L’injustice et la violence, mais aussi l’amitié et la solidarité, constituent le quotidien des colons. Jean a ses secrets, Adrien ses doutes, Miguel ses blessures, Honoré un caractère bien trempé… Et nos héros refusent d’être écrasés par le système pénitentiaire. D’autant plus qu’à l’échelle de ce microcosme social, ils ont chacun leurs projets …



Le premier épisode, La Fuite, permet de présenter les quatre personnages principaux (Honoré, Adrien, Miguel et Jean) ainsi que le cadre de la colonie pénitentiaire dans laquelle ils sont envoyés par la justice. Nous découvrons ainsi une galerie de personnages plus ou moins sympathiques (plutôt moins que plus, d’ailleurs), que ce soit les autres « pensionnaires » ou le personnel du « bagne ». Très vite, les quatre nouveaux amis ne vont avoir qu’une seule obsession : s’évader.



Cette évasion, ou plutôt ces tentatives d’évasion, vont servir de fil rouge aux trois albums de la série. Mais au-delà de ce récit déjà intéressant en soi, nous pouvons également découvrir les événements qui ont conduit chacun des quatre protagonistes jusqu’aux Marronniers. Chacun a son histoire, plutôt touchante, et cela dresse un tableau cruel de la France et de son enfance au début du XXè siècle.



Les trois albums sont également une dénonciation implacable des colonies pour enfants qui étaient alors monnaie courante à l’époque. L’indignité dans laquelle les enfants étaient traités, les conditions de vie et de travail (oui, de travail) de ces gamins nous font bondir désormais, et c’est l’une des qualités de cette série de montrer cette réalité.



J’ai avalé les trois albums de la série (chacun faisant 48 pages me semble-t-il) en très peu de temps, l’histoire se lit très rapidement et les dessins sont excellents. C’est une très bonne découverte que j’ai faite en tout cas, je ne regrette pas d’avoir empruntés ces trois albums à la médiathèque !
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Les innocents coupables, tome 2 : La trahison

Critique commune aux trois albums de la série



J’ai emprunté récemment à la médiathèque plusieurs bandes dessinées, dont les trois albums qui composent une série intitulée Les innocents coupables, signée Laurent Galandon au scénario et Anlor à l’illustration. Le résumé présenté en quatrième de couverture du premier album m’avait bien plu :



Janvier 1912. Quatre jeunes parisiens sont conduits dans une lointaine campagne. Condamnés à diverses peines, ils rejoignent la colonie pénitentiaire agricole « Les Marronniers ». Les poulbots vont découvrir et apprendre de nouvelles règles dans ce lieu que l’on appellera plus tard les « bagnes d’enfants ».



L’injustice et la violence, mais aussi l’amitié et la solidarité, constituent le quotidien des colons. Jean a ses secrets, Adrien ses doutes, Miguel ses blessures, Honoré un caractère bien trempé… Et nos héros refusent d’être écrasés par le système pénitentiaire. D’autant plus qu’à l’échelle de ce microcosme social, ils ont chacun leurs projets …



Le premier épisode, La Fuite, permet de présenter les quatre personnages principaux (Honoré, Adrien, Miguel et Jean) ainsi que le cadre de la colonie pénitentiaire dans laquelle ils sont envoyés par la justice. Nous découvrons ainsi une galerie de personnages plus ou moins sympathiques (plutôt moins que plus, d’ailleurs), que ce soit les autres « pensionnaires » ou le personnel du « bagne ». Très vite, les quatre nouveaux amis ne vont avoir qu’une seule obsession : s’évader.



Cette évasion, ou plutôt ces tentatives d’évasion, vont servir de fil rouge aux trois albums de la série. Mais au-delà de ce récit déjà intéressant en soi, nous pouvons également découvrir les événements qui ont conduit chacun des quatre protagonistes jusqu’aux Marronniers. Chacun a son histoire, plutôt touchante, et cela dresse un tableau cruel de la France et de son enfance au début du XXè siècle.



Les trois albums sont également une dénonciation implacable des colonies pour enfants qui étaient alors monnaie courante à l’époque. L’indignité dans laquelle les enfants étaient traités, les conditions de vie et de travail (oui, de travail) de ces gamins nous font bondir désormais, et c’est l’une des qualités de cette série de montrer cette réalité.



J’ai avalé les trois albums de la série (chacun faisant 48 pages me semble-t-il) en très peu de temps, l’histoire se lit très rapidement et les dessins sont excellents. C’est une très bonne découverte que j’ai faite en tout cas, je ne regrette pas d’avoir empruntés ces trois albums à la médiathèque !
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Les innocents coupables, tome 1 : La fuite

Critique commune aux trois albums de la série



J’ai emprunté récemment à la médiathèque plusieurs bandes dessinées, dont les trois albums qui composent une série intitulée Les innocents coupables, signée Laurent Galandon au scénario et Anlor à l’illustration. Le résumé présenté en quatrième de couverture du premier album m’avait bien plu :



Janvier 1912. Quatre jeunes parisiens sont conduits dans une lointaine campagne. Condamnés à diverses peines, ils rejoignent la colonie pénitentiaire agricole « Les Marronniers ». Les poulbots vont découvrir et apprendre de nouvelles règles dans ce lieu que l’on appellera plus tard les « bagnes d’enfants ».



L’injustice et la violence, mais aussi l’amitié et la solidarité, constituent le quotidien des colons. Jean a ses secrets, Adrien ses doutes, Miguel ses blessures, Honoré un caractère bien trempé… Et nos héros refusent d’être écrasés par le système pénitentiaire. D’autant plus qu’à l’échelle de ce microcosme social, ils ont chacun leurs projets …



Le premier épisode, La Fuite, permet de présenter les quatre personnages principaux (Honoré, Adrien, Miguel et Jean) ainsi que le cadre de la colonie pénitentiaire dans laquelle ils sont envoyés par la justice. Nous découvrons ainsi une galerie de personnages plus ou moins sympathiques (plutôt moins que plus, d’ailleurs), que ce soit les autres « pensionnaires » ou le personnel du « bagne ». Très vite, les quatre nouveaux amis ne vont avoir qu’une seule obsession : s’évader.



Cette évasion, ou plutôt ces tentatives d’évasion, vont servir de fil rouge aux trois albums de la série. Mais au-delà de ce récit déjà intéressant en soi, nous pouvons également découvrir les événements qui ont conduit chacun des quatre protagonistes jusqu’aux Marronniers. Chacun a son histoire, plutôt touchante, et cela dresse un tableau cruel de la France et de son enfance au début du XXè siècle.



Les trois albums sont également une dénonciation implacable des colonies pour enfants qui étaient alors monnaie courante à l’époque. L’indignité dans laquelle les enfants étaient traités, les conditions de vie et de travail (oui, de travail) de ces gamins nous font bondir désormais, et c’est l’une des qualités de cette série de montrer cette réalité.



J’ai avalé les trois albums de la série (chacun faisant 48 pages me semble-t-il) en très peu de temps, l’histoire se lit très rapidement et les dessins sont excellents. C’est une très bonne découverte que j’ai faite en tout cas, je ne regrette pas d’avoir empruntés ces trois albums à la médiathèque !
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À coucher dehors, tome 2

Un deuxième tome dans la continuité du premier.

Une lecture agréable et drôle.
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A coucher dehors, tome 1

Amédée, Prie-Dieu et la Merguez sont trois inséparables SDF, vivant paisiblement en dessous d’un pont de Paris lorsqu’un notaire débarque pour les informer que Jean-Pierre Rousseau alias Amédée vient de perdre sa tante et de gagner une maison. L’héritage s’accompagne tout de même d’une condition : s’occuper de Nicolas, fils trisomique de la tante et grand fan de Youri Alexeïevitch Gagarine. Les trois clochards vont alors emménager dans la maison et se prendre d’affection pour cet enfant qui se balade en combinaison spatiale orange. Ce cosmonaute, un peu différent, va rapidement fuguer pour essayer de réaliser son rêve, monter dans un spoutnik. Les 3 amis vont devoir rapidement partir à sa recherche s’ils veulent conserver la jouissance de la demeure de tante Adelaïde.



Vous n’aviez jusqu’à présent pas vu beaucoup de pages consacrées aux éditions Bamboo dans les chroniques de ce blog. Cela a commencé à changer avec ma lecture de « Le Retour » qui m’a donné l’envie de découvrir d’autres titres de la collection Grand Angle, émanation de Bamboo, qui propose un catalogue plus mature. C’est tout d’abord en voyant la couverture du tome 2 chez Story-BD, que je me suis arrêté pour lire le résumé sur l’arrière de cette bande dessinée. Tout de suite, je l’ai trouvée originale et c’est l’association des deux (illustration de couverture + pitch) qui m’ont fait dire qu’un jour je lirai cette œuvre singulière. Je l’ai finalement achetée quelques mois plus tard dans une autre librairie, lorsque je suis tombé sur les 2 tomes en même temps.



Baser son récit sur un enfant atteint de trisomie 21 confié à des sans domicile fixe, c’était osé comme pari mais c’est aussi ce qui permet à cette bande dessinée de sortir du lot. La force de cette comédie sociale imaginée par Aurélien Ducoudray est de regrouper des personnages mis en marge par la société, l’un à cause de son handicap et les autres en raison de leur mode de vie. J’ai adoré cette histoire pleine de rebondissements et menée « tambour battant ». L’auteur a réussi à allier un sujet sérieux et beaucoup d’humour pour une aventure pleine d’humanité. Petit à petit, les personnages prennent de l’épaisseur et se croisent pour nous proposer une bande dessinée bien construite. Les dialogues sont aussi bien sentis et percutants. Bien que les situations soit parfois trop rocambolesques, ce roman graphique rempli de surprises, se lit facilement avec beaucoup de plaisir.



Plutôt habituée aux sujets graves et durs (les innocents coupables, Amère Russie), la dessinatrice Anlor fait ici aussi du très bon travail tant sur les couleurs que sur le style. Son coup de crayon met en exergue le côté révolté et excessif d’Amédée ainsi que la palette d’émotions par lesquelles passent les différents acteurs de cette œuvre. L’auteur nous offre une belle galerie de visages marqués par la vie. Le découpage des cases de ces deux bandes dessinées est relativement dense à l’image de l’accumulation d’actions et de péripéties de l’histoire. Les nuances de couleurs, changent d’un tome à l’autre à l’instar des tonalités des illustrations des couvertures des 2 tomes. Le premier est plus froid et stellaire, alors que le deuxième est plus chaleureux, comme si les émotions avaient changé au fur et à mesure qu’Amédée apprend à connaitre Nicolas. Le premier se centre sur Nicolas l’enfant rêveur alors que le deuxième se concentre sur l’attachement d’Amédée à ce jeune trisomique. De même, on devine dès la couverture du tome 2 et ses tons chauds que l’aventure devrait bien se terminer pour tout le monde.



En bref, ce dyptique très réussi, nous conte une histoire d’anti-héros sympathiques et attachants qui vont vivre une fable contemporaine pleine de perspectives, d’humour et d’émotions.


Lien : http://www.artefact-blog-bd...
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À coucher dehors, tome 2

L’histoire tient bien la route et même si les personnages deviennent de plus en plus caricaturaux, ils n’en demeurent pas moins tous attachants.
Lien : http://www.bdencre.com/2017/..
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A coucher dehors, tome 1

Une bande dessinée  en deux tome désopilante et truffée d'humour sur la rencontre entre un SDF et un trisomique. Attendez-vous à rire allègrement tant nos héros sont de joyeux lurons. L'art et manière de nous faire sourire sur un sujet plutôt sombre.



C'est l'histoire...



De Jean Pierre Rousseau SDF et de sa bande de comparses, tous dotés d'un surnom caractéristique, qui se voit soudainement hérité d'une maison. Un seule condition à cet héritage tombé du ciel, s'occuper de Nicolas fils trisomique de sa tante légataire.



Si avoir un toit semble une aubaine lorsqu'on est SDF, devoir s'occuper d'un jeune garçon revant de s'envoler dans l'espace l'est beaucoup moins.



Nous voici partie dans l'aventure de ce duo plutôt mal assorti qui va rencontrer nombreuses péripéties et tenter d'atteindre un réel équilibre. Nous croiserons entre autre, un policier marié à une ex-claudette, des moines adorateurs de St Erasme protecteur des troubles intestinaux et une infirmière reine de la piqure.



Une belle manière d'aborder la différence et le handicap avec un humour décapant. La BD est aussi un bon médium pour de telles histoires.




Lien : https://justelire.wordpress...
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Amère Russie, tome 1 : Les Amazones de Bassaïev

Diptyque bouleversant où petites histoires quotidiennes côtoient la grande histoire, celle de la guerre de Tchétchénie, où moments dramatiques prennent le contrepied de situations cocasses… Que reste-t-il d’humain dans un tel décor ? Les belles figures et les vrais salauds sont-ils faits d’un seul bloc ? Ekaterina, mère-courage, accompagnée de sa petite chienne Milyi (un chien sans importance qui pourtant, est souvent central dans le récit), va les affronter avec la volonté indéfectible de retrouver son fils. Le dessin d’Anlor est magnifique, parfois tout en angles et en tension (ah la g… de Bassaïev !) et arrive à faire passer la noirceur de ce récit avec une belle utilisation des couleurs.

Bref, je conseille vivement.

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A coucher dehors, tome 1

Aurélien Ducoudray propose une bd dans la veine des Vieux Fourneaux de Lupano ou Les beaux étés de Zidrou. Trois clochards prennent en charge un trisomique orphelin en échange de l’héritage d’une maison.

Cette comédie sociale mêle tendresse et humour. La rencontre de quatre personnages atypiques est pleine d’humanité

Le récit de Ducoudray est appuyé par le dessin de Anlor qui retranscrit bien l’émotion des personnages mais avec un ancrage peut-être parfois un peu trop marqué.

On passe cependant un bon moment de lecture.


Lien : https://bibliotheque.brest-m..
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A coucher dehors, tome 1

Très chouette BD, humaine et désopilante, un peu à la manière des "Vieux Fourneaux" de Lupano. De vieux tromblons SDF, un jeune homme un peu lent... et tout un tas de péripéties inattendues!

C'est plein de tendresse et de compassion, avec une touche d'humour décapant. Une jolie BD à conseiller à tous!
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Amère Russie, tome 1 : Les Amazones de Bassaïev

Il y a beaucoup de choses dans cette BD : de la cruauté , de la tendresse, de l'amour, de l'humour. L'auteur mélange les genres pour mieux diluer les messages qui risqueraient d'être trop violents. Et l'exercice est réussi, car il ne fait vraiment pas preuve de partialité. La cruauté est partout, chez les russes comme chez les tchétchènes. Les qualités aussi sont partagées et ne sont pas l'apanage d'un camp ou de l'autre. C'est sûrement ce qui fait la réussite du premier tome de ce diptyque : on ne prend pas partie, mais on se pose des questions. On admire l'engagement de la

mère qui part en recherche de son fils sans penser aux conséquences, on admire l'engagement des amazones autant que celui de la maman. Et au milieu de toutes ces considérations, le petit chien ,un peu comme un arbitre, compte les points en distillant des notes d'humour, bien placées, qui finissent de nous faire apprécier ce premier tome à sa juste valeur.

Un premier tome réussi, sur sujet très sérieux.
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A coucher dehors, tome 1

Bonne aubaine pour Amédée et ses deux compères SDF, voilà que sa tante vient de passer l’arme à gauche et lui lègue son pavillon de banlieue. Finie les nuits sous les ponts et les couvertures en carton de frigo…sauf qu’il y a une petite condition, pour profiter de la maison, faut s’engager à s’occuper du cousin trisomique qui va avec, Nicolas, qui rêve de devenir Youri Gagarine. C’est la douche froide, mais qu’à cela ne tienne, Amédée et sa bande vont faire de leur mieux…dans la mesure du possible.

Si je jetais des fleurs en veux-tu en voilà à Ducoudray il y a encore peu, je me dois d’être honnête, ce nouvel album est peut être l’un de ceux auquel j’ai le moins accroché.



Attention, n’allez pas me faire dire qu’A coucher dehors n’est pas une comédie sympathique pleine de passages forts amusants, c’est juste que j’ai trouvé que le scénariste s’aventurait sur le terrain de prédilection de ses confrères en vogue, de Lupano à Zidrou (que, cela dit, on apprécie en général beaucoup chez nous) et que, ce faisant, il laissait un peu de ce qui fait son charme sur le bas coté.

Si ça reste bien écrit, on a tout de même parfois l’impression de la recherche du dialogue qui fasse mouche ou du second rôle attendu. Cela étant, un bon point pour A Coucher Dehors c’est la présence coté graphismes de Anlor, déjà de mèche avec Ducoudray sur le très réussi Amère Russie, et notre artiste s’en tire aussi bien pour croquer les SDF parisiens que les chiens enragés tchétchènes.

A lire en musique: http://bobd.over-blog.com/2016/09/finie-la-belle-etoile-a-coucher-dehors-vs-don-camillo.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
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A coucher dehors, tome 1

Des personnages touchants, dans un récit rocambolesque ! On adhère dès les premières pages !
Lien : http://metamorphose-cerebral..
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Les innocents coupables, tome 1 : La fuite

C'est une histoire qui se passe avant la guerre, elle est très touchante car elle permet de s'évader. Les personnages sont de sacrés voyous qui veulent partir de ce pensionnat. IL y a de l'action, ces enfants sont maltraités. La fin de histoire ne raconte pas vraiment ce qu'il leur arrive .

Les dessins sont de couleur sombre pour exprimer la tristesse.

Je conseille cette bande dessinée aux lecteurs qui aiment l'action.et qui ne sont pas trop sensibles à la violence.



Romain B.
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Amère Russie, tome 1 : Les Amazones de Bassaïev

À travers l’itinéraire de cette mère partie à la recherche de son fils, soldat russe prisonnier en Tchétchénie, les auteurs de cette histoire nous font pénétrer avec force et conviction dans l’univers de ce conflit oublié.
Lien : http://www.actuabd.com/Amere..
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Les innocents coupables, tome 1 : La fuite

Une histoire touchante délicatement et efficacement mise en image par Anlor. On s'attache très vite à cette bande de copains confrontés à un système pénitentiaire injuste. Espérons que le tome 2 tienne toutes ses promesses !
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Amère Russie, tome 1 : Les Amazones de Bassaïev

Pas évident de faire rire avec un sujet grave comme le conflit intestin meurtrier qui a divisé (et divise encore) la Russie et la Tchétchénie. Pourtant, sans tomber ni dans le parti pris ni dans le pastiche, Aurélien Ducoudray, un peu à la manière d’un Begnini avec son La Vie est Belle, utilise les aspects aberrants de la guerre pour en montrer toute l’absurdité. On suit dans ce premier tome une mère courage Russe qui, à la suite d’un article dans un journal (le scénario est tiré d’un fait divers réel), décide d’aller chercher son fils, soldat prisonnier de guerre derrière les lignes ennemies. De rencontres hors du commun en situation extraordinaires, le lecteur est happé dans la croisade de cette héroïne peu habituelle, magnifiquement mise en image dans un style anguleux et hybride par une artiste à suivre. Un récit fort et juste. avec la B.O qui va bien: http://bobd.over-blog.com/2014/08/amazone-en-retraite-amere-russie-vs-le-temps-des-gitans.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
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Amère Russie, tome 1 : Les Amazones de Bassaïev

Le scénariste, Aurélien Ducoudray, ne s’embarrasse pas de détails historiques ou de fastidieuses recherches documentaires, bien que l’histoire parte d’un fait authentique ; mais malgré cela, il nous livre un récit vrai. Le trait semi-réaliste d’Anlor colle très bien à l’ambiance recherchée. Ce premier volet de cette série en deux parties est réussi.
Lien : http://www.bdencre.com/2014/..
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