Un texte a portée philosophique , pas désagréable du tout et surtout très documenté.
J'ai, il faut reconnaitre, beaucoup apprécié les petites annotations qui permettent a tout lecteur, et même aux plus jeunes la possibilité d'accéder a ce texte .
Par contre je ne suis pas très réceptive , en ce moment, a ce type de roman, très porté sur la réflexion et la remise en question. J'ai besoin de plus de légèreté.
Par contre au vu de la plume de l'auteur , et du contenu, je sais que ce texte pourrait plaire a plus d'un . D'autant que le côté philosophique est porté avec aisance tout en restant dans une atmosphère mythologique très prenante.
Commenter  J’apprécie         672
Je remercie Aviscène pour la confiance qu’elle m’accorde en acceptant de me confier L’ultime Élément pour lecture et avis.
J’ai croisé cette auteure sur les réseaux sociaux littéraires autour d’un petit débat sur la nécessité ou non d’être croyants(es) pour s’intéresser à son roman ou, formulé autrement, sur la question de savoir si nos croyances ou confessions religieuses déterminent principalement nos lectures et nous font accepter ou écarter d'office certains ouvrages avant même de les avoir lus…
Mes convictions personnelles n’ayant jamais représenté un obstacle à mes lectures et étant, par nature, plutôt curieuse de tout, je me lance sans à priori d’aucune sorte dans ce court roman.
Ce livre est un récit de voyage vers une quête de sens spirituelle et philosophique sur les notions de vérité, de certitude et de croyances et sur leur remise en question : un personnage allégorique, Le Questionnement, sort de sa retraite paradisiaque et pénètre dans le monde, découvrant un village après l’autre. Chaque nouveau lieu de vie s’articule autour de façons de vivre stylisées à grands traits bruts : la croyance, la recherche, l’athéisme, l’agnosticisme.
La narration prend l’allure d’un conte avec la même question posée aux habitants des villages, reprise et répétée aux étapes cruciales du récit :
« — Pourrais-je vous poser une question qui peut vous paraître indiscrète mais qui me perturbe ?
[…]
— Etes-vous croyant ? ».
Les réponses de ceux qui affichent une position tranchée suggèrent une forme d’impasse dont tout l’enjeu du roman se doit d’être la sortie ; ainsi, le conte devient parabole.
Quand Le Questionnement rencontre un enfant dont le nom signifie « l’instinct » ou « l’inné » qui habite un autre village appelé « Passage », la parabole allégorique et l’expression détournée font de plus en plus sens pour le lecteur. En effet, la sempiternelle question trouve enfin des réponses dignes d’intérêt qui font émerger les valeurs du travail, de l’intention, de la clairvoyance, de la générosité, de la parole, de la détermination et de la curiosité qui donnent enfin sens à la problématique de la foi et de ses œuvres. À ces sept éléments s’ajoute l’ultime que la lecture de ce livre met enfin en lumière, posture du lecteur dont la pensée évolue au fur et à mesure de la lecture, illustrée par le personnage allégorique du Questionnement.
Au cours de ma lecture, j’ai ressenti que l’auteure qui se cache sous le pseudonyme d’Aviscène est en recherche, en chemin vers « cet Autre si convoité et tant redouté qui stimule continuellement [sa] quête du sens ».
J’admire sa mise en mots, son appropriation de ce questionnement intime et universel : son cursus universitaire en linguistique n’y est surement pas étranger.
Je salue sa connaissance des textes fondateurs, cités à bon escient…
J’apprécie une écriture soutenue, au vocabulaire recherché, attachée aussi à l’oralité du conte, avec des répétitions, des maladresses, des ruptures dans la concordance des temps qui donnent un effet de naturel.
Ce petit roman est une belle surprise, une illustration simple des débats et des conflits inter-religieux, une ode à l’entente et au respect entre les hommes et les lecteurs, croyants ou pas, convaincus ou non, en proie au doute et au questionnement.
Merci Aviscène.
Commenter  J’apprécie         120
Encore une fois, je remercie Aviscène pour la confiance qu'elle m'accorde en me confiant pour la deuxième fois un de ses livres pour un service de presse. Aux côtés de l'auteure qui se cache sous ce pseudonyme, découverte avec L'ultime Élément, je sais d'avance que je vais lire un texte profond, solidement référencé et que je vais sans doute être amenée à beaucoup réfléchir… Cela ne me déplait pas, bien au contraire
Avec Anarkhia, je m'embarque dans « une fiction inspirée du livre d'Hérodote et l'auteure précise que la réflexion profonde de cet ouvrage émane des textes sacrés du bouddhisme, du judaïsme, du christianisme et de l'islam ». Autant dire que la pression est forte…
Le titre de ce livre nous ramène à la racine grecque du mot « anarchie » et évoque donc une forme de désordre, de confusion générale et de chaos due à une absence de lois ou à l'incompétence de ceux qui détiennent l'autorité. En fait, le titre du livre reprend le surnom donné à une peuplade, connue pour ses vices, son immoralité et l'incompétence de ses deux chefs.
Soyons honnête : je n'ai pas lu Hérodote qui vivait en Grèce Antique au 5ème siècle avant Jésus-Christ et qui est considéré comme le premier véritable historien et géographe. Je me suis donc rapidement procuré une édition numérique de ses Histoires qui célèbrent les exploits guerriers des Grecs et des Perses, afin de m'y référer si besoin. Ce n'est qu'à la fin de ma lecture que je suis allée lire les parties qui ont servi de base à Anarkhia.
J'ai lu ce livre comme un conte philosophique ; je me suis laissée porter sans idées préconçues… Je donne juste ici les clés de lectures que j'y ai personnellement trouvées et qui, j'espère, vous donneront envie de le lire.
Aviscène commence par citer un passage de l'oeuvre de référence, extrait du livre IV sur la tentative de conquête des Scythes par les Perses, sous le règne de Darius. Puis, elle réécrit l'histoire d'Aristéas de Proconnèse, une figure de la mythologie grecque, « connu pour ses multiples voyages extatiques » et en fait une sorte de chaman, kidnappé pour venir en aide à une tribu en butte à la dépravation de ses chefs.
Sur les conseils du chaman, les deux dirigeants entreprennent un voyage pour aller consulter un vieux sage dont la consigne sera sibylline. Aviscène reprend donc, sans grande originalité, les poncifs du conte et les caractéristiques de la quête initiatique. Cependant, son écriture est jalonnée de traits d'humour et d'une discrète satire ; noms des chefs que je vous laisse découvrir, sortes de Dupont et Dupond, réflexions sur leur présence effective et leur rôle au sein de leur tribu, attitude irresponsable… Enfin, elle pose sous forme de conte les tenants et les aboutissants d'un bon nombre de dérives en tout genre dans lesquelles nous reconnaissons sans peine une transposition de ce que vivent et expérimentent nos sociétés actuelles.
Pendant ce temps, à Proconnèse, on commente la disparition d'Aristéas et les conjectures contradictoires et les rumeurs fusent de toutes part. À son retour, il va écrire un poème épique sur « ses voyages fantastiques sur des terres inconnues ».
Dans son récit, Aviscène entremêle des détails mythologiques qu'elle nous explique souvent en notes de bas de pages et des analogies plus nébuleuses empruntées à plusieurs textes fondateurs. Elle a choisi d'expliciter ce qui relève de la culture classique et de laisser ses lecteurs se débrouiller avec les thématiques plus spirituelles…
Ce sont sans doute les références bibliques que je connais le mieux et qui me frappent en premier ; ainsi, nous retrouvons un délai de quarante jours qui rappelle la durée de la pluie pendant le déluge, le temps passé par Moïse sur le mont Sinaï et par Jésus dans le désert…
Je sais que le jeune est présent dans les rites chrétiens avec le carême et dans les rites musulmans avec le Ramadan. On retrouve les voeux et les vertus du silence dans les deux religions.
Quant à la méditation, elle est présente dans toutes les religions, sous une forme ou une autre… Je dois reconnaître ici que je connais vraiment très peu la spiritualité bouddhiste.
La notion de libre arbitre intervient également dans le récit, au sens de volonté non contrainte, de possibilité de choix réfléchis.
Dans l'univers référentiel d'Aviscène, je retrouve la figure du renard, rusé et fourbe, trompeur et trompé comme dans le Roman de Renart ou dans les fables ou encore susceptible d'être apprivoisé comme celui du Petit Prince de Saint-Exupéry. Cet animal véhicule aussi des notions positives d'intelligence, d'adaptabilité et de rapidité.
Aviscène convoque également les éléments et les paysages naturels ; la grotte, la cabane isolée, la source, la rivière et la montagne sont assez symboliques comme lieux de l'introspection et de la méditation, du dépassement de soi et de l'apaisement, de l'ascétisme et de la retraite spirituelle.
Enfin, ce livre exploite les techniques de communication et de management : comment se faire comprendre d'un groupe de personnes, les organiser et les diriger efficacement pour le bien de la communauté ? Comment faire la différence entre obligation culpabilisante et frustrante et prescription finalisée et libératrice ?
Il est question de responsabilité, de remise en question et de respect d'autrui.
Les personnages ont des addictions, souffrent de maux psychosomatiques ; à la fin de ma lecture, j'avais oublié qu'ils étaient censés vivre à l'époque du règne de Darius au moment des grandes conquêtes de l'empire perse vers 513 avant Jésus-Christ.
Encore une fois, je salue l'érudition d'Aviscène et sa capacité à se servir de ses connaissances pour illustrer les grandes problématiques et provoquer le questionnement. L'auteure transpose avec talent son récit dans le passé ; ainsi la distance devient didactique et pousse à la réflexion, reprenant la fonction éducative du conte philosophique, filant la piste métaphorique.
À la fin d'Anarkhia, elle donne quelques citations à méditer sur les notions d'obligation et de prescription et à côté des grands textes religieux, j'y ai trouvé des auteurs que j'affectionne…
Encore une fois, Aviscène m'a eue par surprise, suffisamment intriguée pour que je fasse quelques recherches personnelles… Est-il nécessaire de connaître Hérodote pour lire Anarkhia ? Pas forcément… Mais on peut se demander qui lit cet auteur de la Grèce Antique encore aujourd'hui, à part quelles étudiants de lettres classiques. Je trouve très intéressant de le dépoussiérer un peu et de montrer ainsi combien les grands textes fondateurs sont toujours très actuels.
Merci Aviscène.
Commenter  J’apprécie         110
Je viens de lire « L'ultime élément », roman d'Aviscène. La sublime et mystérieuse vidéo présentant cet ouvrage m'avait de suite interpellée et j'ai ainsi découvert la plume légère, poétique et envoûtante de cet auteur.
Ce livre ayant pour thème « les religions » est un récit de voyage philosophique et spirituel faisant penser à un conte.
Bien que peu habituée à ce genre de lecture, je me suis sentie happée par les mots de l'auteur et j'ai suivi allégrement le personnage principal de cette histoire : « le Questionnement » tout au long de ses rencontres.
L'écriture est belle et tellement soutenue qu'elle captive et ne laisse pas un seul instant de répit au lecteur...
J'ai beaucoup aimé ce court roman très enrichissant, qui invite à la réflexion sur les différentes croyances et la foi et que j'ai lu d'une traite.
Un très bon moment de lecture.
Commenter  J’apprécie         40
Dans ce court récit, on suit Pistos et Apistos, chefs d'Anarkhia, peuple de désolation où règnent la baston, l'alcool et autres vices. Afin de redorer leur blason et de mener une meilleure vie, nos héros vont entamer une quête qui les amènera à découvrir de nouvelles pratiques.
Ici, les deux protagonistes se remettent en question et explorent les notions de collectivité/individualisme. L'auteur nous invite à la réflexion et la méditation, en incorporant fiction et mythologie puisque l'histoire se passe en Grèce Antique. Les lieux décrits sont également une proposition au rêve (forêt, montagne, etc).
Ce roman m'a fait sortir de ma zone de confort mais m'a tout de même plu. J'ai vécu le voyage avec Pistos et Apistos. Je me suis posée les mêmes questions. L'auteur ne vous laissera pas indifférent et vous ressortirez changé à la fin de votre lecture.
Si le côté philosophique peut en effrayer quelques uns, il n'y a rien qui soit trop lourd ou trop complexe à comprendre. Ce récit reste abordable pour une grande majorité. Les notes de bas de page sont d'ailleurs un vrai plus.
En bref, laissez-vous transporter.
Commenter  J’apprécie         30
Voilà. Je viens tout juste de lire la dernière page de ce petit roman et sincèrement, je lui dois un grand merci de m’avoir aidé à sortir un de mes zones de confort. C’est aussi pour cette raison que j’aime autant la littérature. Elle nous autorise à partir dans toutes les directions et dès que nous sommes en train d’ouvrir un livre, on est encore très loin de s’imaginer de quelle couleur sera faite l’aventure qu’on s’apprête à découvrir. Je dois reconnaître que ce roman est le tout premier d’un genre sur lequel je ne me suis jamais risqué : la philosophie. Cette histoire se veut plutôt apaisante, elle ne prend pas la tête et elle se lit très facilement. Maintenant, et je ne vais pas m’en cacher, ce n’est pas un coup de cœur, loin de là. Et d’ailleurs, voici ce que j’ai à lui reprocher et ce que j’ai pu aimer.
Points négatifs :
- Je n’ai pas senti de « rythme » dans cette histoire comme j’aime en trouver et c’est sûrement le point négatif qui m’a le plus gêné.
- Les deux personnages principaux ne possèdent aucun charme, je suis désolé. Certes, on suit attentivement leur avancée et très vite, un point d’interrogation a su se manifester au sein de mon esprit : où l’auteur souhaite me mener. Concernant les héros, ouais, j'avais très peu d'intérêt pour eux.
- La conclusion que je trouve très brève. Certes, de très bons changements dans les vies personnelles sont désormais mise en place mais on ne sait rien sur le long terme. Il aurait été bien de rajouter quelques chapitres supplémentaires pour voir à quel point le peuple a su changer à son tour.
Points positifs :
- La taille aléatoire des chapitres.
- C’est une lecture que j’aurais tendance à qualifier de relaxante. Pas de prise de tête pour le lire, une très grande facilité à parcourir ses phrases et surtout, un orthographe impeccable.
- J’ai beaucoup aimé les conseils donnés à travers ce livre et surtout, ces derniers ont su entrer en résonance avec mon cœur. Pourquoi ? Parce que j’ai compris depuis bien longtemps que l’obligation n’amène à rien et surtout, je suis incapable d’obliger les gens à quoi que ce soit. Je préfère m’en remettre à leur libre-arbitre mais aussi à leur générosité et leur volonté. Forcer les choses n’a jamais donné de très bons résultats. Enfin, j’estime que ce livre a son importance face à l’époque que nous sommes en train de vivre actuellement. J’espère que d’autres personnes penseront ainsi et je souhaite surtout que nous trouverons une solution concernant ce monde dans lequel nous vivons et dont certains se plaisent à détruire en mettant en place de nombreuses obligations.
- Enfin, les nombreuses annotations présentes dans les pages de ce roman. Etant un amoureux de mythologie, j’ai aimé retrouver certaines expressions. C’est aussi pour cette raison que je tenais à le rajouter dans mes points positifs. De plus, j’ai su apprécier que l’auteur participe à l’enrichissement de mes connaissances en m’offrant une accessibilité à d’autres expressions dont je n’avais jamais entendu parler jusqu’à la lecture de la phrase.
Commenter  J’apprécie         20
J’ai eu un peu de mal à accrocher avec cette histoire. J’ai trouvé le début très compliqué et j’avais du mal à m’intégrer dans l’histoire ainsi qu’à reconnaître les personnages. Je trouvais aussi qu’il n’y avait pas de fil conducteur, que l’auteur parlait d’une chose et de suite il parlait d’une autre complètement différente. Cependant en relisant plusieurs fois le même passage j’ai commencé à comprendre mieux l’histoire et donc à l’aimer un peu plus. J’ai trouvé les deux personnages principaux très comiques, leurs aventures m’ont fait sourire. Le fait que l’histoire ce passe en Grèce antique m’a beaucoup plus aussi et le fait de voir quelques rapports avec la mythologie grecque était très agréable. Le message que ce livre laisse et qu’on le comprend surtout vers la fin est absolument incroyable. Même si c’était une lecture difficile au début, c’est aussi une lecture très addictive qu’on lit très rapidement.
Commenter  J’apprécie         20
Voici une grande nouveauté pour moi, j'aime sortir de ma zone de confort et allé au devant de lectures qui me surprendront.
Ici aucune déception.
Ce voyage initiatique d'Apistos et Pitos est tout simplement un pur délice. Les mots sont magnifiques et se lient les uns aux autres pour former une histoire magique, où tout comme les 2 protagonistes, nous faisons nous aussi notre propre voyage.
Les termes et explications de l'auteur nous guident vers cette quête de la compréhension des 2 tribus par leur chef avec une aisance surprenante.
Un vrai bonheur de lecture que je conseille vivement, toutefois destinée à un lectorat d'initié ou de volontaires comme moi-même.
Commenter  J’apprécie         20
Dans ce roman nous faisons la connaissance de la tribu Anarkhia mais surtout de leurs chefs Pistos et Apistos qui décident de partir à la rencontre d’un homme appelé chaman qui trouvera la solution à leurs problèmes .Il les enverra voir le sage qui vit dans une forêt ,ils partent donc à la recherche du sage avec l’idée de revenir avec la solution pour apaiser la tribu mais cela n’aura pas l’effet voulu car à leur retour la situation empire.Ne comprenant pas ils retourneront une seconde fois voir le sage.Ils devront faire un travail de compréhension sur eux même,leurs erreurs et leurs actes pour rétablir la paix dans leur tribu.
Un très bon roman qui pousse le lecteur à se poser des questions sur ses actions,ses paroles.
Faisons nous les choses correctement ?
L’auteur nous transporte dans son univers avec une grande facilité,il y a un vrai travail de description,les petites notes en bas des pages nous aide vraiment bien à comprendre .
La plume de l’auteur est fluide et très agréable à lire.
C’est le deuxième roman que je lis de cet auteur et comme pour le premier « l’ultime élément « c’est un vrai plaisir ce fut pour moi une très belle découverte et un auteur de talent à suivre.
Commenter  J’apprécie         20
Dans ce livre, nous suivons Le Questionnement, personnage principal qui est aussi la personnification de la curiosité et, évidemment, du questionnement.
J’ai remarqué certaines longueurs mais rien de bien dérangeant. En effet, chaque paragraphe fais réfléchir le lecteur, pas sur ses croyances mais sur la façon d’être un fidèle. Ou d’ailleurs de ne pas l’être.
Ce roman philosophique ne dis pas comment penser mais expose les façons de penser des gens à travers la curiosité du Questionnement.
Aucune religion n’est décrite comme supérieure à une autre, bien au contraire. Elle sont toute décrites avec le vocabulaire adéquat. Et heureusement qu’il y a des annotations pour définir certains termes religieux, car honnêtement je n’en connaissait qu’une petite partie.
Personnellement, j’ai aimé cette lecture. Elle m’a fait réfléchir sur les mentalités des personnes. Et même si ce n’est pas mon genre de lecture habituel, j’ai été agréablement surprise.
Commenter  J’apprécie         20
Ce roman est atypique.
Dans un univers improbable, il relate l’histoire d’un inconnu qui s’interroge sur les différents façons d’aborder la croyance.
Je l’ai trouvé très agréable à lire, il appelle à une certaine réflexion.
Commenter  J’apprécie         20
ANARKHIA d'Aviscène.
Dans certaines contrées de la Grèce antique, des peuples rongés par la cupidité se font souvent la guerre. Deux hommes d’une même tribu se lancent dans une étrange aventure qui changera à jamais leur perception du monde. Mythologie, Histoire, Croyances, un roman de réflexion à caractère philosophique et spirituel qui vous entraîne dans un grand voyage méditatif à la rencontre du Soi.
Merci à Aviscène pour ce SP.
J’ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l’histoire, ce n’est vraiment pas mon genre de lecture. Néanmoins, la plume de l’auteur est fluide et belle. Si vous aimez les contes philosophiques et la mythologie, foncez, c’est fait pour vous :D
La couverture est juste magnifique.
Commenter  J’apprécie         10