Toujours au creux du ventre, j’ai ce « je n’ sais quoi » qui me fait t’adorer. Vous le voyez, mon ventre ? dit-elle à l’assemblée, y déposant mes paumes. C’est là que tout se trame, au creux de ce chaudron. Là que fleurit l’amour, que bruissent les papillons dont parlent nos poètes. »