c'était un malentendu. Ils considéraient mes photographies surréalistes car elles révélaient un Paris fantomatique, irréel, noyé dans la nuit et le brouillard. Or le surréalisme de mes images ne fut autre que le réel rendu fantastique par la vision. Je ne cherchais qu'à exprimer la réalité car rien n'est plus surréel.