Le fait de savoir que des mécanismes si profondément différents contrôlent la structure et le comportement de la matière aurait dû être révélateur pour la compréhension biomédicale de la santé et de la maladie. Or, même après la découverte de la physique quantique, on a continué de former les étudiants en biologie et en médecine à concevoir le corps comme une simple machine physique qui fonctionne selon les principes newtoniens. En cherchant à comprendre comment les mécanismes du corps étaient « contrôlés », les chercheurs se sont appliqués à examiner une grande variété de signaux physiques, classés par familles chimiques distinctes, comme les hormones, les cytokines, les facteurs de croissance, les suppresseurs de tumeurs, les messagers et les ions. Toutefois, en raison de leur tendance newtonienne matérialiste, les chercheurs traditionnels ont complètement ignoré le rôle de l’énergie dans la santé et la maladie.