Citations de Bruce H. Lipton (26)
Vos croyances changent votre façon de voir le monde. Et votre biologie s'adapte à ces croyances.
Vos croyances engendrent vos pensées, vos pensées engendrent vos paroles, vos paroles engendrent vos gestes, vos gestes engendrent vos habitudes, vos habitudes engendrent vos valeurs et vos valeurs engendrent votre destin.
Les comportements appris et les croyances acquises des autres, entre autres des parents, des pairs et des professeurs, ne concordent pas toujours avec les objectifs de notre conscient. Ce qui nous empêche de parvenir à nos rêves, ce sont les limites programmées dans notre subconscient.
Si le cerveau s'attend à ce que le traitement fonctionne, il envoie des produits chimiques de soins dans la circulation sanguine, ce qui facilitera la guérison. L'inverse est également vrai et tout aussi puissant: Quand le cerveau s'attend à ce qu'une thérapie ne fonctionne pas, il ne le fait pas. C'est l'effet "nocebo".
Les survivants seront ceux qui auront pris conscience du caractère destructeur de notre style de vie irréfléchi.
Nous avons la capacité d'évaluer consciemment nos réactions aux stimuli et de changer nos vieilles réactions n'importe quand... après nous être occupés du puissant inconscient. Dès lors, nous ne sommes donc pas esclaves de nos gènes ni de nos comportements autodestructeurs.
L'épigénétique* ne change pas le code génétique, elle modifie la façon dont il est lu. Des gènes parfaitement normaux peuvent provoquer le cancer ou la mort. Dans l'autre sens, dans un bon environnement, des gènes mutants ne s'exprimeront pas. Les gènes sont équivalents à des plans-programmes ; l'épigénétique est l'entrepreneur. Elle modifie l'ensemble, la structure.
*étude des influences environnementales modifiant l'expression du programme génétique
Si l'humain modelait son style de vie sur celui des communautés cellulaires saines, nos sociétés et notre planète seraient plus paisibles et plus dynamiques.
Dans notre univers, la substance matérielle (ou matière) émerge du vide.
La physique quantique a permis de découvrir que les atomes physiques sont faits de tourbillons d'énergie en constante rotation et vibration, chaque atome étant semblable à une toupie qui émet de l'énergie. Ainsi, la matière peut se définir à la fois comme un solide (particules) et un champ de forces immatérielles (ondes).
La formule E =mc² sous-entend que l'énergie et la matière sont une seule et même chose. L'Energie (E) = la matière (m, masse) multipliée par la vitesse de la lumière (c) au carré.
Les humains restreignent leur comportement de croissance lorsqu'ils passent en mode de défense.
L'énergie de la pensée peut activer ou inhiber la production cellulaire de protéines par la mécanique des interférences constructives et négatives.
L'énergie agit plus efficacement sur la matière que les agents chimiques.
Nous ne vivons pas dans un univers fait d'objets physiques distincts, séparés par le vide, mais l'univers est un tout indivisible et dynamique où l'énergie et la matière sont si profondément enchevêtrées qu'il est impossible de les considérer comme des éléments indépendants.
L'ADN ne contrôle pas les fonctions biologiques et le noyau n'est pas le cerveau de la cellule. Comme les humains, les cellules sont modelées en fonction de l'endroit où elles vivent.
La Terre et la totalité des espèces qui l'habitent constituent un vaste organisme vivant en interaction. Pour exemple, un type de crevette entasse sa nourriture pendant que son partenaire, un gobie, la protège des prédateurs. L'évolution dépendrait plus de l'interaction entre espèces que de l'interaction entre individus d'une même espèce. Nous avons besoin les uns des autres.
Une biologie qui combine les mécaniques quantique et newtonienne s'avère nécessaire.
Les comportements biologiques peuvent être contrôlés autant par des forces invisibles dont la pensée, que par des molécules physiques, telle la pénicilline. Cela fournit un fondement scientifique en faveur d'une médecine énergétique dénuée de produits pharmaceutiques.
Lorsque des cellules faiblissent, il faut en chercher la cause dans l'environnement et non dans la cellule même. L'auteur a constaté qu'effectivement en procurant un environnement sain à ses cellules, elles se développaient, et quand l'environnement était moins qu'optimal elles faiblissaient.
Après énucléation (le noyau contenant l'ADN), de nombreuses cellules peuvent survivre sans leurs gènes pendant deux mois ou plus, en présentant toujours un comportement complexe, coordonné et viable, ce qui signifie que leur « cerveau » est toujours intact et fonctionnel. Elles finissent cependant par mourir car elles ne peuvent ni se reproduire ni remplacer les protéines affaiblies dont elles sont composées. Le noyau n'est donc pas le cerveau de la cellule, mais sa gonade.
Nos cellules sont essentiellement un assemblage de blocs de protéines.
C'est le changement de charge électromagnétique des protéines qui cause le mouvement générant leur comportement, et non pas l'ADN lui-même.
L'ADN contrôle sa propre reproduction et est la matrice des protéines du corps, mais il ne régit pas tout. Le génome humain ne compte d'ailleurs que 25 000 gènes, les partisans de la génétique s'attendant à en observer 120 000 !
Selon Lamarck, l'évolution serait née d'une interaction « instructive » et coopérative entre les organismes et leur environnement, interaction qui permet à des formes de vie de survivre et d'évoluer dans un monde dynamique.
C'est un fait : le système immunitaire utilise beaucoup d'énergie