Je me disais que les lois de l’Éternel sont impénétrables ; je m’écriais en moi-même : « Que votre sainte volonté soit faite, ô Seigneur ! » sans pouvoir obtenir la résignation de mon cœur, car l’extinction de la beauté, de la jeunesse, de l’amour, de tout ce qui donne et fait aimer la vie, est en quelque sorte contre nature ; notre faible esprit ne peut le concevoir.