Sombre habitant des déserts, ô toi qui te consumes inutilement, en confiant ta douleur à leurs sables mobiles, jusqu'à quand resteras-tu le jouet d'une imagination qui t'égare ?... En vain tu arroses ce sol de tes larmes; le destin inflexible n'en sera pas plus favorable à tes amours. (Libretto, p.93)