Janry

Dernièrement, j'avais donné toute ma collection de "Petit Spirou" à un petit-neveu car mes petits-enfants ne semblaient pas s'y intéresser.

La semaine prochaine, nous avons prévu avec Oscar( 11 ans) d'aller voir le film avec François Damiens dans le rôle du prof de gym pas très appétissant, Monsieur Mégot.

J'ai donc racheté le numéro 1 de la série "Dis bonjour à la dame" afin d'avoir un exemplaire sous la main et j'en ai profité pour le relire.

L'album s'ouvre sur la présentation du Petit Spirou et ensuite sur le décès du photographe du village, Otto Polisson. Ce monsieur a fait quelques clichés compromettants des personnages importants du village qui défilent dans la maison du défunt pour récupérer les photos qui les concernent et ce, sous les yeux de petit Spirou et Vertignasse.

Paru en 1990, j'appréciais beaucoup cette bande dessinée dans laquelle je retrouvais un peu de vie d'antan et des enfants à l'impertinence intemporelle.

C'est toujours le cas, j'aime les illustrations, l'humour...presque tout car certains gags sont je dois dire un peu lourds mais...pas beaucoup.

Cette BD est drôle, c'est l'histoire d'un poussin qui n'est pas sur d'en être un, accompagné d'une souris dévoreuse de livre, qui s'inventent philosophes.

Le petit Spirou est la version moderne de Boule et Bill. Les gags sont souvent drôles mais on ne voit pas du tout le rapport avec Spirou.

J'ai lu du 26/09/2017 au 27/09/2017.

Personnellement, Spirou et Fantasio ne me donne pas envie de lire donc j'ai préféré tenter en lisant Le Petit Spirou et j'avoue que j'adore.

En effet, la série est à mourir de rire. De plus, ce tome se lit très facilement. Le seul petit bémol est que le dessin est plus grossier que les tomes suivants mais cela est normal.

Pour conclure, il faudrait tenter l'expérience en lisant cette série.



Ma note : 9/10

J'ai lu du 20/09/2017 au 22/09/2017.

Un excellent tome qui maintient le niveau de la série soit très élevé. En effet, on ne cesse de rire à chaque gag qui sont certes enfantines et simples mais rafraîchissants.

On passe d'agréables moments avec ce tome.

Je vous conseille de vous y mettre.



Ma note : 9/10

J'ai lu du 13/09/2017 au 20/09/2017.

Une intégrale qui comprend les tomes 5 à 8, une intégrale idéale pour limiter la place et diminuer les prix ainsi au lieu d'emprunter chaque tome individuellement.

Personnellement, j'avais un peu de mal à m'accrocher à Spirou adulte donc j'ai tenté le petit qui n'a rien à voir avec l'adulte qu'il deviendra. En effet, quand il était enfant, il est bourré de bêtises. Ainsi, on prend plaisir à lire cette intégrale très marrante et à découvrir l'enfance de Spirou avec sa famille, ses amis, ses profs...

Un univers très bien ficelé et marrant.

Je vous conseille de lire la série.



Ma note : 9/10

Spirou et Fantasio retrouvent un vieil ennemi, Don Cortizone, appelé désormais Vito “La déveine”, naufragé solitaire sur un atoll perdu du pacifique.

Cette aventure est plaisante, avec des dessins bien léchés, de belles scènes sous-marines. C'est un quasi huis-clos, bien mené, mais sans grosses surprises.

sympathique et plutôt amusant.

J’ai toujours eu un gros faible pour le Spirou et Fantasio de l’ère Franquin et je n’aimais pas trop ceux de Fournier qui ont suivi et je n’avais jamais prêté attention à la nouvelle génération, celle de Tome & Janry, préférant de ce duo les albums du Petit Spirou…



Ce ne fut qu’il y a peu, dans un numéro de Lanfeust Mag, que je découvris cet album dans un article consacré aux livres pouvant figurer dans la Bibliothèque Ultime.



Puisqu’ils le disaient dans le Lanfeust Mag, je me suis dit que c’était sans doute l’occasion de me pencher sur les auteurs qui avaient succédé à Franquin et j’ai eu quelques belles surprises avec les albums de Fournier, mais la meilleure fut avec celui qui était consacré dans l’article de la Biblio Ultime : Spirou à New-York !



Imaginez des héros qui sont sans le sous, un frigo désespérément vide, pas de boulot, plus de sous, et en mangeant une pizza, vous voilà le gagnant d’une loterie qui vous promet 1.000.000$ !



Oui mais, nous, lecteurs, nous savons qui a manigancé cela… C’est le tout puissant Don Vito Cortizone, el padrino de la mafia new-yorkaise ! Mais pourquoi, nous ne le savons pas encore…



Mêlant astucieusement l’humour, les situations cocasses et les gros clichés sur la mafia italienne et son parrain, Don Vito Cortizone, cet album est un concentré d’action, de suspense, de mystères et de bons éclats de rire bien gras, sans jamais sombrer dans le redondant ou le lourdingue.



Se trouvant malgré eux mêlés à la guerre entre les mafias Chinoises et Italiennes, nos deux amis (Spirou, Fantasio) vont devoir se décarcasser pour récupérer leur écureuil Spip avant qu’il ne serve de hors-d’œuvre au chinois !



Sans compter que la chance qui leur sourit non stop a tout intérêt à ne pas les laisser tomber et vu que les mafiosis italiens sont touchés pas la poisse à tel point qu’il ne pleut que sur leur tête… Manquerait plus que la poisse leur tombe dessus à bras raccourci !



Don Vito Cortizone compte sur eux pour mener à bien sa guerre contre les chinois qui, non content de tout leur prendre, arrivent aussi à décimer leurs rangs, comme si la Chance n’était que pour eux.



Le mandarin, à la tête de la mafia chinoise, n’est sans doute pas étranger à toute cette poisse qui colle aux basques de nos italiens et une enquête au siège de ce fameux mandarin s’impose.



Mais pour y arriver, que de péripéties et de fusillades !



Le genre de bédé à lire lorsque le temps dehors est morose, ou à savourer au soleil, avec un bon mojito à la main, sans oublier une part de pizza…



À savourer sans modération les dialogues et les dessins sont hilarants, servis tous deux par un scénario qui ne laisse pas la place aux temps morts ou aux situations cocasses et rocambolesques.



Des albums comme celui-ci, j’en redemande !


Lien : https://thecanniballecteur.w..

Ce premier tome retrace avec beaucoup d'humour l'enfance de Spirou.

Les dessins ne sont pas toujours hyper soignés, la maman du petit Spirou notamment n'a pas tout à fait le même look ici que dans les dernières bandes dessinées de la série, mais ce n'est pas très génant car il arrive souvent que les dessins évolus dans les séries humoristiques.

Les gags sont amusants, j'ai rit à plusieurs reprises, et je trouve ce premier tome réussi.

Je ne l'avais jamais lu, et je suis ravie qu'on me l'ai prêté.

Je lui mets quatre étoiles :)

Un bon album des aventures du Petit Spirou, peuplé comme son titre l'indique de gags animaliers.

Toutefois, il s'agit d'une compilation d'albums existants déjà: les numéros 3 à 7, 9, 11, 12 et 14. Il est donc inutile si vous possédez déjà la collection.

Personnellement, je suis fan, je fonds, je me dilate la rate... alors pas question d'être objectif...



L'entrée en matière est à se tordre... comment le Petit Spirou voit la jeunesse de Hyacinthe Langélusse... rien que pour ces quelques pages, le tome vaut le coup d'oeil.



Le reste est assez peu fripon, contrairement à ce que laisse penser la couveture. On a pas mal de gags avec grand-mamy, et la maman du héros, qui vaut le coup d'oeil comme d'habitude.

Autant, plus jeune, j'aimais beaucoup les aventures du Petit Spirou autant celles de l'adulte de m'avaient absolument jamais tentée. Ce qui est sans doute dû aux dessins que je ne trouve pas très jolis : c'est trop précis et pointu pour moi. Du coup, c'est vraiment pour la session rouge du Challenge Bookineurs en Couleurs que je me suis lancée dans cette BD en espérant que j'accroche enfin a cet univers des plus connus...



Et j'ai plutôt bien aimé, assez pour passer un bon moment mais pas assez pour me souvenir de l'histoire plusieurs semaines après (j'ai dû relire un peu en diagonale pour pouvoir écrire ma chronique).

J'ai beaucoup aimé l'humour de la bande dessinée que l'on retrouve à travers les jeux de mots, les situations mais surtout les dessins. Il y a des tas de détails auxquels il faut faire attention pour être sûr de passer un bon moment : en fait, j'ai été beaucoup plu sensible à ceux-ci qu'à l'histoire en elle-même.

Celle-ci est effectivement sympa mais vu que je n'avais pas lu les 41 tomes précédents, je pense qu'il me manquait deux ou trois références pour vraiment tout comprendre de cette histoire. Cependant les événements sont logiques - mais pas toujours très crédibles - et m'ont permis de passer un bon moment. Ça fonctionne et tant mieux !



Mais, comme je le disais plus haut, les dessins restent un peu ma bête noire dans cette BD : j'ai vraiment du mal avec ce genre d'illustration qui sont "d'une autre époque" dans ma tête... C'est un argument débile mais il est vraiment que je préfère les dessins plus "ronds" et "unis".

Cependant la narration est très agréable et m'a permis de passer un bon moment.

Un classique plutôt sympa'.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..

Spirou et Fantasio voyagent dans te temps avec Aurélien de Champignac, un descendant de Pacôme. L'histoire de Tome est confuse mais les dialogues sont drôles et percutants. Les dessins de Janry sont corrects.

Superbes dessins, superbes textes, un poussin qui philosophe avec le poulailler au complet. Loufoque déjanté, drôle et très sérieux en même temps!

Le ver de terre qui se moque du poussin en lui faisant croire qu'il est un bébé renard tout ça pour ne pas être mangé... :D

A lire!!

La BD présente l'histoire d'un petit poussin, tout mignon, à qui on donnerait le bon dieu sans confession, mais qui a un sacré caractère. En compagnie d'une souris qui philosophe en grignotant des livres de Descartes et Kant, il se pose des questions existentielles sur sa vie, et se demande d'où il vient, car il refuse de croire qu'il est tout bêtement sorti d'une coquille d’œuf. Il sème aussi le trouble parmi les animaux en leur demandant qui, de la poule ou de l’œuf, est arrivé le premier ...

C'est un peu loufoque, vraiment très drôle. J'ai découvert cette BD par hasard, et je dois avouer que c'est un petit coup de cœur !

Il s'agit de la dernière aventure signée Tome & Janry. J'ai découvert Spirou grace à eux avant de m'intéresser au travail du génie Franquin.



Ce qui m'a tout de suite frappé est l'ambiance très sombre qui tranche avec les histoires "bon enfant". Bien qu'il y ait de la couleur, le contour des planches est d'un noir profond, qui renforce l'idée d'une histoire différente.



L'un des autres tomes que j'avais trouvé sombre est "la vallée des bannis", mais ici l'intrigue est bien plus moderne. Rien à voir avec des aventures à la Indiana Jones ou Tintin. Dans ce 46ème tome, Spirou tombe dans un piège et une machination se met en place faisant de lui l'ennemi numéro un. Il ne peut se fier à personne même ses propres amis vont se retourner contre lui.



Ce tome unique dans l'univers de Spirou oscille entre thriller et science fiction.

Le seul personnage est Spirou. Fantasio et Spip sont relayés à des seconds rôles, très minimaliste.

Même les dessins sont différents... J'ai cru avoir entre les mains une bédé dessinée par Bruno Gazzotti (Soda).



Pour leur dernier tome, il est clair que les auteurs ont eu carte blanche et ont voulu passer la main en livrant leur vision personnelle de Spirou, loin de l'héritage de Rob-Vel, Jijé, Franquin ou même Fournier.



A lire !

Le petit Spirou qui d'habitude me fait pleurer de rire, n'a pas franchement convaincu dans ce tome. Certes, il y a des scènes cocasses mais pas comme d'habitude.

Pas trouvé le tome 1 mais ce sont de courtes petits histoires.

Comme le petit Spirou, pas besoin d'avoir lu le précédent.



Dessins de Janry et c'est EE Schmitt qui écrit.

Voilà ce qui a motivé mon achat. Ce duo!



C'est drôle, délirant même.



Un tit poussin qui découvre la vie dans la ferme et en dehors.

Découvre son reflet; ...



A lire pour décompresser

Franchement pas emballé par ce tome du Petit Spirou. J'avais un plutôt bon souvenir de ce petit garnement et de sa bande de copains, ainsi que des adultes qui faisaient, à eux tous, l'originalité et le charme de la série. Mais là, un focus lourd sur M. Mégot fait un bide, de même que l'introduction ciblant sur le prêtre (j'ai même oublié son nom tellement il m'a marqué...), et des planches à gags d'un humour assez bas de gamme m'ont laissé de marbre. Juste ai-je souri de la scène où le grand-père et la mère du petit Spirou le confondent avec un bonhomme de neige...



Bref, c'est dommage.