Citations de Jim (383)
Contrairement à ce que l'on croit, la vie n'oscille pas entre le bonheur et le malheur, mais entre le malheur et l'ennui.
Donc apparemment, chacun de nous peut décider de la portée de son passé... De la portée de son passé, jusque-là, ça va... Attention ça se corse... Ce n'est pas en dissertant sur l'importance de tel événement antérieur, mais en se projetant vers tes buts que tu portes un regard sur ton passé... Et du coup, tu décides toi-même de la signification que tu veux lui donner... M'ouais, admettons... Par exemple, paf ! Une crise existentielle qui me tombe dessus, qui décidera si elle sera un incident important dans mon parcours, ou au contraire juste une simple étape non significative dans ma vie ? Moi, selon le regard que je porterai sur elle des années après... Qui décidera si une peine de prison, après un vol par exemple, a été fructueuse ou inutile ?...Eh bien c'est moi ! Si je renonce à voler ou si je continue... Et donc, de façon plus large, qui peut décider de la valeur d'une amitié, du sens d'un cadeau offert ? Qui peut décider de la toxicité d'une relation ou, au contraire, de l'importance que les autres ont pour nous ? Qui... ? Eh bien c'est moi, toujours et uniquement moi ! Moi, moi ! Selon l'angle par lequel je choisis de regarder mon passé...
- Oh putain, je... ! Oh putain, je comprends ! C'est pas vrai ! Je... je crois que je comprends !! M... moi ! Je... je pige Sartre !!
Je ne sais pas pourquoi... La revoir, ce... ce n'est jamais de la joie... C'est un ressenti tellement plus complexe. C'est comme un choc, à chaque fois, une inquiétude... qui me traverse.
C'est dingue comme je suis accro à cette fille, c'est irrationnel, c'est... Je nous vois ensemble, toute la vie. Je n'arrive pas à m'enlever cette image de la tête.
Tous les soirs, je te remercierai d'être un jour venue à ma porte
Toutes les nuits, je t'embrasserai en silence, pour ne pas te réveiller
Laisse-moi te couvrir de baisers ce printemps
Laisse-moi te couvrir de baisers cet été
Laisse-moi te couvrir de baisers cet automne
Laisse-moi te couvrir de baisers cet hiver
Aux amis qui ne te connaissent pas, je dirai l'inlassable amour qui me tient debout
Aux inconnus croisés sur les routes, je dirai l'amour infini que j'ai pour toi
Et doucement, je calerai ma tête contre ta tête
Et au plafond qui nous contemple, je dirai tous les secrets que je ne te dirai pas
Et toute la vie, je veux m'endormir avec toi
Et toute la vie, je veux m'éveiller à tes côtés
Katerina Nolicka
-Tu ferais les mêmes choix si tu pouvais tout refaire?
-J'envie ceux qui peuvent répondre à ça.
Le bonheur c'est ce truc chiant que si on l'a pas, c'est moins bien que si on l'a.
Vous ne pouvez pas empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de vos têtes,mais vous pouvez les empêcher de faire leurs nids dans vos cheveux.
(Anonyme)
Peu de livres changent une vie. Quand ils la changent, c’est pour toujours - Christian Bobin.
Lire c’est boire et manger, l’esprit qui ne lit pas maigrit comme le corps qui ne mange pas. - Victor Hugo.
Il faut sentir la vie nous traverser, nous secouer, c'est son essence même, son fracas permanent... et dans le noir de la tempête, on doit juste essayer de hurler aux gens qu'on les aime, et crier fort et espérer que notre voix porte jusqu'à eux.
Entre la peur et l’attente, il y a de l’espace pour les rêveurs…
Je me dis que c'est étrange, les inconnues dont on ne saura jamais rien...
... Moi je ne fonctionne qu'avec des objectifs bien définis...
Ah.
Des petits culs...
Au moins j'ai mes repères.
Mais derrière chaque homme, on a coutume de dire que se cache une femme.
C'était l'automne... L'odeur de tarte aux pommes encore brûlante, tout juste sortie du four...
Les senteurs de sucre caramélisé et de cannelle dans toute la pièce... Dans le couloir, dans l'escalier...
Il faut aimer la vie, il faut embrasser les gens, se mettre à genoux et les serrer contre soi, et les serrer fort. Et leur dire qu'on les aime, et leur redire, et leur redire encore, avant d'être pris par surprise, avant d'être pris en traître et d'être dévasté. Il faut pleurer de bonheur chaque jour, et pleurer de peur de perdre des gens qui nous importent. Même si on sait qu'on les perdra. La vie n'a aucun sens. Jamais. Elle n'en a jamais eu et n'en aura pas. Elle ne répondra à aucune loi, aucune règle. C'est la nature même de la vie. Elle est impermanente, violente, dégueulasse, magnifique. Et il faut rester droit, solide, debout sur ses deux jambes et tenir face aux grands vents. Il faut sentir la vie nous traverser, nous secouer, c'est son essence même, son fracas permanent... Et dans le noir de la tempête, on doit juste essayer de hurler aux gens qu'on les aime, et crier fort et espérer que notre voix porte jusqu'à eux.
On vit dans un monde où, fourmi parmi les fourmis, chacun de nous se prend le vent des mauvaises nouvelles tous les matins, tous les midis et tous les soirs, et malgré le souffle des noires bourrasques, nous tentons de répondre à l’injection de rester debout et de ne pas plier.