Job

J'aime bien retrouver ce petit personnage et ses aventures, sans suspense on est d'accord, ça finit toujours bien. J'aime la sagesse qui y est véhiculée, la rencontre avec le monde sauvage, là les loups qui ne sont ni tout noir tout blanc mais à connaître grâce à Yakari qui parle le langage de la nature et s'en fait leur traducteur. C'est simple, court et toujours porteur de belles valeurs

Un peu idyllique, mais qui présente je pense la légende indienne de façon proche de l'image qu'on en a en France, car oui, les animaux sont très complaisant à mourir pour le bien de l'homme affamé, c'est le principale reproche... cependant c'est une belle histoire qui sera présenté à partir de 7 ans quand l'enfant sait faire la part entre le réelle et l'imaginaire! Car Yakari parle aux animaux contrairement aux autres hommes... et ici on découvre qu'il est capable de rêve prémonitoire, que complètera un de ses amis parmi les animaux... mais qui nécessite quand même de savoir interpréter! Où trouver les bisons dont a tant besoin la tribu de Yakari affamée ? Et ce qui est aussi pertinent, c'est la relation des jeunes aux chevaux, ainsi que la relation aux orages... dans un campement de tipis.

Si votre enfant aime les indiens, et la proximité de l'homme et de la nature... cette série peut l'intéresser... et peut être le mener vers d'autres lectures.... surtout si on met à la mode des séances de lecture de groupe au sein d'une librairie ou d'une médiathèque !



Votre enfant a du mal à ce mettre à lire, et il est trop vieux ( plus de 7 ans) pour les livres très proches des situations des enfants de Christophe Boncens et ses histoires animalière ? Et bien tester les bandes dessinés d'abord, si possible qui a trait à des sujets l'intéressant particulièrement, et le Marsupilami, très branché sur la faune et l'écologie, peut plaire à certains enfants, surtout que c'est traité avec humour! l'écologie est à la mode.... profitons en... et dans cet album, il y a même un drone.. et donc un album très actuel! Cet album que e viens de recevoir ( cadeau de Noël en retard avec un autre album, Supermarsu) nous ramène à l'humour des débuts de la série! Dans le genre B.D. pour la jeunesse on peut conseiller aussi Snoopy ( mais que je n'arrive pas à commander ces derniers temps, une B.D. très américaine, critiquant la société moderne des années 80, mais en fait encore très actuelle, tout en ne faisait pas perdre confiance en les institutions!) Cédric, avec son pépé et son père qui se disputent tout le temps, se met toujours de lui-même dans l'embarras, avec des conseils de pépé, pas toujours pertinente, éventuellement Astérix le Gaulois, ou, Lucky Luc, car ce n'est pas grave si l'enfant ne comprend pas tout cela viendra en vieillissant.... Les tintin ont beaucoup plus de texte, surtout partir du 4 e album... où Hergé bosse plus le scénario! Cela peut donc être éventuellement une étape avant le livre, qui sera si possible court, ou comportera une série d'histoire courte ( le Petit Nicholas, ou encore les lettres du Père Noël de Tolkien), on pourra allonger l'histoire avec des livres comme Section 13! Pour arrivé ensuite à l'Ikabok ou bien Jacque et l'aventure du Cochon de Noël de J.K Rowling;..

Quelques histoires courtes intéressantes sont édité dans la collection trimestre, mais on a parfois du mal à les avoir....

Pour les ados et préados : la gloire de mon père et le chateau de ma mère ( Pagnol, indémodable comédie familiale!) Croc Blanc , l'Appel de la forêt ( s'il aime la vie sauvage le grand nord, Jack London) le Fantôme de Canterville, s'il aime bien les histoires de fantôme, c'est assez drôle.... pas effrayant pour un sous, les trois Mousquetaires, Quo Vadis, Quentin Durward, Ivanhoé, s'il aime bien l'histoire, la Virginienne est un roman historique qui l'entrainera sur les problèmes de l'esclavage, mais d'une façon qui ne peut être traité avant 12 ans je pense. Fantasy dès 10 ans ? Mais le Hobbit et Harry Potter... il faut commencer par des histoires courtes quelque soit l'âge, privilégié la qualité pour favoriser l'intérêt! et progressivement lui procurer des livres de plus en plus gros, mais toujours proches de ses intérêts personnels, on sera à l'écoute, car ses goûts évolueront en fonction de l'âge et des lectures!

Derib et Job décident d'emmener leur lecteur à la découverte d'une autre culture. A force, on croyait que les indiens ne vivaient que dans la plaine américaine. Grâce au lapin Nanabozo, Arc-en-ciel, Yakari et Petit Tonnerre se retrouvent à l'archipel de la Reine-Charlotte proche de la côte pacifique au Canada. Ils sont accueillis très chaleureusement par les autochtones. Ensemble, ils partagent des informations sur le mode de vie. Yakari part en mer pour rencontrer une orque qui tue des loutres. C'est un animal malin et très adaptable. Par contre, il nuit à la pêche et mérite la mort. Par chance, Yakari parle aux animaux et lui demande de ne plus manger des mamans loutres. Ridicule. Comme si la chaîne alimentaire devait dépendre des bons sentiments mielleux. En effet, le tome est à destination des enfants donc on simplifie les choses.



Tout est trop léger comme à son habitude. Yakari arrive encore en sauveur. Il va finir par s'ouvrir du complexe du héros au bout d'un moment. La fin montre le point culminant du narcissisme. Il y a des totems dans le village qui marquent des moments importants à travers des formes mystiques telle qu'on a dans notre imaginaire. Et eux, en partant, ils laissent un totem très haut avec le cheval et les deux gamins. Ils imposent quelque chose comme si c'était un joli cadeau. Le seul point positif est que l'on montre un autre village, avec des gens heureux, une répartition des tâches hommes/femmes, des autres représentations... On va attendre avant de repartir dans une aventure de sioux. A quand plus de culture et moins de narcissisme?
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Il y a dans la vie des moments de grâce infinie et de complicité entre un grand-père et son petit-fils, comme celui que j'ai vécu il y a peu. Après diverses occupations il voulait lire un livre avec moi, et comme nous avions vu deux ou trois dessins animés de Yakari, j'ai sorti de la bibliothèque ce premier album. Acheté il y a vingt ans et dédicacé par Derib lui-même lors de journées de la BD d'une grande enseigne de distribution. 



Donc bien calés côte à côte dans le canapé je lui ai lu les aventures du petit indien, du poney Petit Tonnerre, de Grand Aigle et du reste de la tribu. Aventures pleines de douceur, d'humour, de suspense, de bonnes intentions et de valeurs de respect et de courage, valeurs aujourd'hui bien en perte de vitesse. Un dessin abouti, un découpage agréable, la note de suspense en bas de chaque page comme au temps du journal de Tintin. Sans oublier quelques notes d'écologie datant d'il y a plus de cinquante ans, sans autosatisfaction, ni leçons, ni culpabilité comme on en reçoit tous les jours.



Bref un album à ressortir et à proposer sans retenue aux petits bonshommes et à leurs soeurs qui aimeront tout autant vibrer aux aventures du petit Sioux.

Quoi de mieux qu'une bande dessinée pour passer un bon moment et retomber en enfance.



Je suis donc reparti à l'aventure avec ce jeune petit Indien Sioux dans la grande prairie Nord-américaine. Mais dans ce tome, on suit surtout son poney, Petit Tonnerre.

Une histoire pleine de magie et de poésie.
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Quel plaisir de re-découvrir Yakari. Je cherchais à faire découvrir l'univers des bd à ma fille de 7 ans, et je suis revenu de la bibliothèque avec Yakari. Impossible de ne pas replonger dedans.

Des dessins simples et superbes à la fois. Un bon bol d'air en pleine nature américaine.



Yakari en tant que Sioux est très attaché à son environnement naturel. Les animaux occupent une place importante dans leur culture. L'animal totem, les chevaux sauvages, ... Les valeurs de courage, entraide, respect sont abordées ici.

8e album de la série Yakari que re-decouvre avec plaisir. Un album graphiquement très beau encore une fois.

La relation de l'homme à l'animal est abordée avec simplicité et poésie dans ce tome.

L'homme et le Loup, deux especes qui ont toujours cohabité, une relation particulière ... et qui est de nouveau à l'ordre du jours notamment chez nous en Europe occidentale.

Les bandes dessinées Yakari conviennent très bien aux amateurs de BD peu importe l'âge. Chaque histoire se démarque de la précédente, avec de nouvelles aventures et à nouveau une immersion qui nous plonge encore une fois dans le monde de Yakari. Le point fort de ces BD c'est que chaque histoire nous donne envie de connaitre la suivante. C'est l'histoire d'un jeune amérindien du nom de Yakari au mode de vie ancestral, nomade vivant sous les tipis. Yakari a la faculté de pouvoir parler aux animaux c'est à cette occasion que son coéquipier et meilleur ami est un cheval du nom de Petit Tonnerre qui le suit à chaque nouvelle aventure. Les 2 protagonistes vont donc suivre plusieurs aventures dans un environnement hostile avec un tas d'autres animaux.

Yakari est un charmant petit indien qui fait partie du peuple des Sioux, plus précisément des Lakotah.

Yakari a lui-même un secret : il comprend le langage des animaux et sait se faire comprendre d'eux...



Comme tout amérindien, il est attaché à son poney appelé Petit-Tonnerre.

Mais voilà que Petit-Tonnerre a disparu …

Le petit poney s'est en effet senti appelé par l'Esprit des Chevaux. Comme d'autres chevaux autour de lui : d'ailleurs, il se fait un ami...

Ensemble, ils vont se soutenir.



Petit-Tonnerre est en effet amené à passer des obstacles :

- d'abord, traverser un torrent impétueux... Comment passer sans se laisser emporter ?

- puis franchir une montagne … il est difficile de marcher dans la neige et le froid ; de plus, Petit-Tonnerre tombe même dans un précipice.. Comment va-t-il s'en sortir ?



- Ensuite, le poney se retrouve dans une région désertique, qui se révèle être un vrai labyrinthe. Là encore, il doit faire appel à son astuce pour trouver son chemin et franchir cet obstacle.

- Mais il n'est pas encore temps de se reposer : le feu l'entoure... Comment ne pas se faire brûler par de gigantesques flammes? C'est peut-être le dernier obstacle, mais c'est sans doute le plus redoutable...

Réussira-t-il à se sortir de toutes ses difficultés ?



Les épreuves successives rencontrés par Petit-Tonnerre vont certes mettre sa vie en danger ? Cependant, il va les surmonter et faire apparaître son ingéniosité et son courage.



Malgré tout, cela restera son secret.... Même vis-à-vis de son ami Yakari.

Car chacun a le droit d'avoir son jardin secret...

La vie de Yakari est toujours pleine de surprise. Le totem d'Arc-en-ciel demande un coup de main au petit indien. Il avait rendez-vous avec elle mais elle n'était pas là. Elle a du mettre les mocassins magiques avec impatience. Ils peuvent l'emmener où elle veut. La promesse de voir des ours blancs à de quoi titiller sa curiosité. Mais on se demande pourquoi alors elle reste dans la forêt. Pourquoi ces chaussures si particulières ne la guident pas vraiment où elle le voulait? Parce qu'au niveau récit, cela ne changerait pas tellement le scénario. De même, à quoi sert vraiment Yakari? Nanabozo peut voyager partout facilement. Il utilise une flèche spéciale qui mène directement à la personne recherchée. A quoi sert encore la présence du petit héros? L'animal totem aurait pu le faire tout seul également. Par conséquent, le scénario manque un peu de cohérence.



Par contre au niveau dessin, l'univers proposé est d'une grande richesse. Derib s'amuse avec Nanabozo qui devient très grand puis très petit. Ainsi cela permet de changer le point de vue en regarder les choses de haut. Ainsi Yakari peut tenir dans sa main Petit tonnerre. Puis ils deviennent si minuscule que la nature semble gigantesque et potentiellement dangereuse. Quel chance qu'un gentil papillon leur propose de faire leur trajet sur son dos? Bien entendu, le clin d'oeil à "Alice au pays des merveilles" est flagrante. L'hommage est assez bien réalisé. Le dépaysement se poursuit quand on arrive à la rencontre des ours. Les animaux semblent heureux. Ils font des vols dans un canoë et les invités font des glissades sur les montagnes de glace. C'est mignon. On met du temps à arriver à cette scène. Dommage, car cela aurait été l'occasion de parler du mode de vie des ours blancs aux enfants. Au final, tout le monde revient à son point de départ. Arc-en-ciel oublie tout. Pourquoi? Yakari lui gardera cela comme un très beau souvenir.
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Ma première critique BD enfant il me semble. Je l’écris de manière générale sur la série puisque Yakari c’est pour moi un ensemble et non un livre isolé.

Enfant j’ai commencé avec les dessins animés puis avec les ouvrages de la médiathèque. Le petit Sioux m’avait très vite charmée par son tempérament débrouillard, fidèle et mature et son beau Petit Tonnerre, évidemment ! Son don de parler aux animaux a dû faire rêver plus d’un lecteur. Toujours dans le respect de la nature, j’avais beaucoup aimé apprendre sur la faune et la flore. Derrière la face de la bande dessinée d’aventures dans les plaines se cache une éducation et sensibilisation à l’environnement. C’est en tout cas ma manière de concevoir les choses.



L’un de mes livres jeunesse préférés à n’en pas douter !

Bonne lecture !

Un mal-aimé, le loup, est au coeur de ce volume de Yakari. Celui-ci va être le médiateur entre l'animal et l'Indien qu'il a blessé dans le passé et qui cherche à se venger.

C'est, à hauteur d'enfant, un hymne à la nature et à la vie sauvage .

J'ai aimé le passage très poétique sur l'origine du hurlement des loups ("un chant").

L'histoire est simple, la lecture agréable, les personnages attachants, et les illustrations traduisent bien l'espace et le mouvement.

Pour petits et moins petits.

Yakari propose toujours une parenthèse pleine de tendresse et de bonté. Ce troisième tome n'échappe pas à la règle. Il est bon de lire ce genre de bd pour les enfants où ils peuvent retrouver une bande d'amis toujours fidèle. Une aventure où il n'y a aucune violence, aucune haine et aucune rivalité. Notre jeune sioux avec sa fidèle monture donnent un coup de main à des castors qui s'installent. Après la fabrication de la digue, ils construisent leur lieu de vie. Un vrai travail qui demande de l'investissement et du collaboratif. Des pointes d'humour sont parsemées entre les pages avec des personnages adorant dormir en toute circonstance ou jouer. Mais il y a quelques rebondissements pour donner du relief au récit. Le coquin de Tilleul a disparu et ses parents s'inquiètent. Impossible de rester à rien faire. Notre fine équipe aidé de Grand Aigle font le nécessaire pour lui mettre la main dessus. Grâce à leur motivation, il va être ramené à sa famille. Comme il n'a pas eu conscience du danger, pour lui c'était juste un jeu dont il est prêt à retenter. Une attitude qui mérite une bonne fessé pour lui faire comprendre la peur que sa disparition à engendrer. Pour la pédagogie douce, il faudra revenir une autre fois. Même cela est amené sur le ton amusant. Tout est léger et sympathique. Parfois c'est peu, toutefois pour des jeunes lecteurs c'est déjà beaucoup. Ils ont encore le droit d'espérer encore un peu.
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Yakari, J'ai lu les histoires de Yakari et Petit Tonerre à ma fille pendant longtemps. Un petit garçon qui savait parler aux animaux et qui avait un petit cheval pour ami, ça la faisait rêver (à moi aussi).

Nous avons passé de très bons moments et la collection des Yakari est toujours là à côté de celles des Rahan.

Bien que ce deuxième tome de la série soit sorti en 1976, il garde une fraîcheur innocente qui ne vieillit pas. Les sioux vivent au rythme des saisons et cette année l'hiver tarde à laisser place au printemps. Les choses viennent à changer et cela demande de s'adapter. Bien entendu, l'ère industrielle n'étant pas déjà passée, on ne peut pas parler de changement climatique. Le peuple autochtone fait de son mieux pour la survivance des leurs. Yakari très connecté à la nature et à ces esprits, il va changer la donne. Le Grand Aigle lui indique en rêve où il faut aller pour ramener les bisons. Après une longue marche dans le désert, il découvre l'oasis où le troupeau se repose. Le lecteur va assister alors à un échange surprenant entre le chef du troupeau, le bison blanc et l'enfant. Il lui dit en tout innocence : "Ma tribu a faim, bison blanc! [...] Et où trouverons-nous à manger si ton troupeau reste caché ici?". L'animal répond calmement : "Les hommes ont besoin de nous, nous devons aller à leur rencontre... Les plus faibles d'entre nous mourront, mais je sais que les vrais chasseurs ne tuent jamais plus de bêtes que leur tribu n'en a besoin". Le chef sait qu'il a un rôle à jouer et qu'il est au service de l'Homme. Les plus faibles serviront de repas aux gentils sioux qui ne prélèvent que ce qu'ils ont besoin. Une forme d'équilibre sera ainsi respecté. Est-ce une façon élégante de dire aussi que dorénavant on produit plus que nécessaire et que gâcher des animaux n'a pas d'importance? Une problématique qui a déjà émergé dans les années 80. Une lecture agréable et facile à s'approprier. Idéal pour les premières lectures pour les petits qui peuvent s'accompagner de discussion avec les adultes. Maintenant les bambins découvrent les animaux dans des salons, des fermes pédagogiques et ils ignorent qu'avant des animaux de consommation vivaient dans la nature, même si ce ne sont plus les mêmes.
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Un album décevant ! Une histoire bien creuse et sans grand intérêt, sans sourire qui monte aux lèvres pendant la lecture. Bien sûr Yakari est toujours attachant et Arc-en-ciel apparaît mais dans un rôle peu intéressant. La magie ne m'a jamais dérangée et fait partie de tous les albums mais, c'est fois-ci, je n'ai pas vu l'intérêt de cette histoire.

Yakari fait parti de ces bandes dessinées que l'on a lu dans sa jeunesse et qui nous a marqué. On se souvient de ce petit indien intrépide accompagné de son meilleur ami, un cheval libre, Petit Tonnerre. Ce premier tome nous permet de présenter le héros de la série qui existe toujours. Le jeune indien possède un don exceptionnel puisqu'il peut discuter avec les animaux. Son animal protecteur est l'un des plus honorable qu'il soit avec le Grand Aigle. Il le voit souvent dans ces rêves et lui donne des conseils, des choses à faire. A son réveil le voilà qu'il cherche à pouvoir avec la grandeur de l'animal. Une indication qui va le faire rencontrer en vrai et avoir une mouture particulière. Contrairement aux autres chevaux de la tribu, Petit Tonnerre restera libre et jamais il n'acceptera de porter une selle. Ils sont amis et donc il n'y a pas de rapport de force ou de supériorité. Ils sont libres et égaux. Cohabiter avec la nature et ses représentants n'est pas le plus beau message que l'on pouvait entendre. La tribu se déplace selon les besoins et les périodes pour vivre au rythme de l'environnement et ne consomme que ce qui est nécessaire. Cette trame de fond est en complément des péripéties incroyable de Yakari qui fait que l'on a jamais le temps de s'ennuyer. Puis aussi le dessin même s'il est ultra-classique ce qui s'explique avec sa publication en 1969. Par chance, les goûts sur l'apparence d'une bd n'a pas trop changé de nos jours. C'est tellement mignon et gentillet que l'on a très envie de retrouver toute la tribu pour vivre une nouvelle aventure étonnante. Et en plus aucun doute que le charme opérera sur les enfants à partir de 8/9 ans.
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Petit coup de tonnerre :



Retournement de situation dans la série Yakari qui parlera cette fois des aventures de sa monture, mais surtout de son meilleur ami ! Yakari est une bande dessinée suisse, créée en 1969 par Job (scénariste), Dérib (dessins) et Dominique (choix des couleurs). Ils nous présentent ce nouveau tome qui diffère un peu des précédents, en mettant Petit Tonnerre au centre de l'aventure. Une BD qui sera une fois de plus appréciée du jeune public qu'elle cible.



Derib a pour habitude de nous raconter les péripéties de notre petit indien. Cette fois, nous parcourons l'aventure de son petit poney plein de caractère et de courage. Au fur et à mesure des pages, on devine pourquoi ce petit cheval part sans son ami, Yakari et on découvre les épreuves qu'il rencontrera sur sa route chargée de différents paysages.



Au travers de cette superbe BD, Derib nous emmène dans un monde haut en couleurs, avec une multitude de détails attrayants, laissant cette fois Yakari dans l'ombre. Ce changement de scénario est passionnant pour nos jeunes lecteurs. A nouveau, l'illustrateur nous offre une fabuleuse histoire remplie de couleurs et d'émotions comme il sait si bien le faire. Relevons aussi cette incroyable capacité à mettre en évidence les évènements importants par un choix judicieux de couleurs originales : l'utilisation de plusieurs nuances d'une seule et même couleur pour faire ressortir certaines images retraçant les étapes importantes ou pour appuyer sur des détails. Il a de plus cet incroyable talent à mettre en scène et faire ressortir les images en utilisant une disposition parfois très originale. Sans oublier sa merveilleuse faculté à laisser place au suspense tout au long de l'aventure, permettant ainsi aux lecteurs de se plonger dans l'histoire et de vivre les aventures de Petit Tonnerre avec beaucoup d'entrain. Il nous dévoile subtilement des indices au fur et à mesure des pages sans jamais révéler le but de la quête. Cette attente donnera davantage l'impression à l'enfant de se retrouver dans la confidence du secret du petit cheval qui refusera même de le dévoiler à Yakari, son ami depuis toujours.



Pour conclure, si vous ne vous êtes pas encore laissé tenter par l'aventure de nos deux fidèles compagnons, n'attendez plus. Une fois que vous aurez commencé, vous ne vous arrêterez plus !

Petite bande dessinée destinée aux enfants.



Belle BD, jolis dessins pleins de couleur. On y retrouve les personnages principaux (Yakari, Arc-en-ciel, Petit Tonnerre...).



La légende autour de l'histoire est jolie mais ce 37eme tome manque de profondeur, de détails. C'est d'une grosse simplicité, peut être même trop simple... C'est pour cela que je mets 3.5/5 :)

Yakari fait ici connaissance avec un élan à l'étrange pelage blanc et aux yeux rouges. Mais l'animal aussî discret que rare est convoité par l'un des meilleurs guerriers du clan de Yakari. Avec l'aide d'arc en ciel sa meilleure amie, de petit tonnerre, son cheval et de MicMac le corbeau, le petit époux va tenter de préserver le se ret de l'existence de l'animal albinos. Cette petite bd sympathique permet aux enfants de découvrir des animaux peu connus .