Oui, mais si l’âme était immortelle et passait de l’un à l’autre, / les mœurs des animaux se seraient mélangées, / on verrait couramment un chien de l’Hyrcanie / s’enfuir devant l’assaut d’un cerf porteur de cornes, / un faucon dans les airs trembler en s’enfuyant / devant une colombe, et les bêtes sauvages posséder la raison, et les hommes la perdre.