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Cette maison d'édition est une filiale du groupe Oust France. Créée en 1982, elle possède un catalogue de plus de 1500 titres.

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 Ouest-France
Des cadavres entassés, des corps noircis, certains grignotés pas des souris, des sacs-poubelles remplis de morceaux de chair. Les descriptions des photos, datant de 2016, que L’Express a récupérées (mais qui ne les a pas publiées par respect pour les défunts et leurs familles) sont édifiantes…

Au 5e étage de la faculté de médecine Paris-Descartes, une partie des locaux du Centre de dons des corps (CDC) qui accueille des dépouilles que les défunts ont souhaité donner à la science, est devenue un véritable charnier. Créé en 1953 par le Pr André Delmas, le CDC a la particularité de proposer des « corps frais », c’est-à-dire non formolés, non congelés, conservés plusieurs semaines après le décès.

Mais, depuis son ouverture en 1953, il n’a jamais été modernisé. L’Express décrit ainsi la porte d’une chambre froide qui ne ferme même plus tellement elle est rouillée.

Les photos que l’hebdomadaire a pu consulter sont issues d’un document de 27 pages, datant de 2016, que le directeur du CDC de l’époque, le Pr Richard Douard, a fait parvenir au président d’alors de l’université Paris-Descartes, Frédéric Dardel, aujourd’hui conseiller de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Le matériel et les installations y sont décrits comme « vétustes, inadaptées, ne respectant pas les obligations légales » avec « des chambres froides non hermétiques, avec des pannes à répétition […] une absence de ventilation dans les différents espaces de travail, des canalisations d’évacuation des eaux bouchées. »

Mais rien ne bouge. Le Pr Richard Douard finit par démissionner en 2017. Des travaux de rénovation, d’un montant de 8 millions d’euros, ont depuis été votés. Ils ne seront effectifs qu’au premier trimestre… 2020 et prévoient notamment le stockage des morts au sous-sol avec tiroirs individuels, comme dans les morgues.

Aujourd’hui, des témoins assurent à L’Express que la situation a changé : les souris ont disparu en 2018, la température des chambres froides est constante, un grand nettoyage a été mené.

Mais un autre scandale est révélé par l’Express. En violation de toutes les règles éthiques liées au don du corps à la science, des membres et organes humains sont monnayés.

Aujourd’hui encore, des cadavres sont réservés à des enseignants mais aussi à des industriels. Des entreprises privées, laboratoires ou autres, paient pour avoir accès aux dépouilles. « Les pièces anatomiques sont utilisées en majorité par la formation continue et acquises par des organismes privés », révèle un audit réalisé par le cabinet KPMG, cité par l’Express.

Les tarifs pour un travail sur place, au CDC, vont de 420 à 900 €. Le prix d’un corps est facturé 900 €. Un système voté en 2011 par le conseil d’administration de l’université, et défendu par Frédéric Dardel. « Les corps représentent un coût marginal, il est normal que ceux qui les utilisent paient. Et les prix ne sont pas scandaleux. »

Mais ce système a aussi entraîné la mise en place d’un trafic, comme l’explique à l’Express le professeur Guy Vallancien, directeur du CDC de 2004 à 2014 : « Les préparateurs revendaient des pièces le samedi matin à des chirurgiens, qui les emportaient. Tout s’achetait. »

Bertrand Ludes, directeur du CDC, affirme aujourd’hui vouloir arrêter au plus vite le démembrement des corps. Il insiste pour que l’université prenne en charge financièrement les dissections réalisées par les professeurs et exige la fin des partenariats avec le privé. Sinon, il démissionnera.
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 Ouest-France
■ On sait à quoi correspondent les numéros au fond des verres de cantine - par Édouard Lamort (06/04/2021)
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Popularisés dans les cantines de France, les célèbres verres Duralex font l’objet d’un mythe d’écoliers comme seule l’enfance peut en créer : les chiffres au fond de chaque verre sont censés refléter l’âge de leur utilisateur. La réalité est cependant bien plus pragmatique que cela. Explications.
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« Moi j’ai 23 ans ! », « Moi 7 ! », « T’es nul, moi j’ai 42 ans. Je vous bats tous ! » Pendant des années, des générations d’enfants ont accompli le même rituel à la pause déjeuner grâce aux verres Duralex, réputé incassables, des cantines scolaires… Chacun devait s’emparer du sien pour découvrir les numéros gravés au fond.
Ce jeu, c’est celui de « l’âge dans le verre d’eau ». Un fantasme enfantin quand on est encore à l’école et qu’on n’espère qu’une seule chose : devenir un grand, et de préférence plus grand que ses copains de classe, ses frères et sœurs.
À la cantine, personne ne souciait de savoir ce que signifiaient réellement ces numéros, l’important c’était le jeu. La réalité est moins amusante et beaucoup plus pragmatique. Ces numéros inscrits dans les verres n’ont rien d’aléatoire, ils sont liés au processus industriel de leur fabrication. Chaque matricule correspond en fait au numéro de la machine qui fabriqué le verre. Eh oui, c’est la fin d’un mythe scolaire !
En 2016, le média en ligne Konbini donnait les précisions suivantes : « Lorsqu’un défaut est constaté sur un verre, il suffit à l’entreprise de consulter ce numéro pour retrouver la machine défectueuse, et la réparer au plus vite. D’ailleurs, un argument vient accréditer cette thèse : les chiffres ne dépassent pas 50, ce qui correspond bien au nombre de machines de Duralex. »
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• Star des plateaux de cinémas.
Outre son statut de super-star des cantines scolaires et de pourvoyeur de nostalgie chez les adultes, l’iconique verre Picardie de Duralex s’est également fait un nom en apparaissant à Hollywood dans plusieurs films à (très) gros budget.
Le fleuron hexagonal de la verrerie trempée s’est notamment retrouvé dans les mains de l’espion de Sa Gracieuse Majesté, James Bond ! En 2012, l’acteur britannique Daniel Craig, le « 007 » de Skyfall, boit cul sec un whisky dans un verre Picardie tout en surveillant du coin de l’œil un scorpion juché sur sa main, prêt à planter son dard.
Parmi ses autres apparitions sur grand écran, on voit le verre entre les mains de « Cate Blanchett, l’héroïne dramatique de Blue Jasmine par Woody Allen, ou Daniel Day-Lewis, Gangs of New York », rappelait notamment Le Monde , le 25 décembre 2020.
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• Une entreprise en difficulté.
Mais les faits d’armes des verres Duralex ne doivent pas cacher la situation économique précaire de la marque. Labellisée « Entreprise du patrimoine vivant en 2019 », elle vient d’être rachetée par International Cookware, la maison mère de Pyrex, son concurrent français, après avoir été placée plusieurs mois en liquidation judiciaire.
La raison ? Un dépôt de bilan en 2005 suivi d’une faillite trois ans plus tard, des incidents techniques importants en 2017 et la crise sanitaire du Covid-19 comme coup de grâce.
L’offre de rachat par International Cookware a été validée le 28 janvier 2021 par le tribunal de commerce d’Orléans. Le groupe établi à Châteauroux était le seul candidat encore en lice pour racheter la verrerie de La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret), en redressement judiciaire depuis septembre 2020 et comptant 248 salariés.

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>> https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-04-06/
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On dit parfois que les dunes son filles de la mer et du vent ... curieuse parenté pour ces demoiselles encore jeunes : elles n'ont tout au plus que 5000 à 6000 ans ...
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 Ouest-France
■ Confinement. Pour la première fois de son histoire, Emmaüs appelle aux dons.
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Les mesures de confinement ont contraint 210 des 289 centres Emmaüs à fermer. Pour compenser cette inactivité forcée qui met en péril son existence, l’association a besoin de 5 millions d’euros.

En 70 ans d’existence, elle n’avait jamais sollicité d’aide financière. L’association Emmaüs France a besoin de 5 millions d’euros pour survivre aux deux mois d’inactivité imposée par le confinement et lance un appel aux dons, pour continuer à aider ses 20 000 bénéficiaires.

Depuis le début du confinement, 210 des 289 structures de la fédération sont à l’arrêt, en particulier les communautés de "compagnons" qui fonctionnent grâce à la récupération et la revente de meubles, équipements et objets divers. Nombre de structures d’aide à l’insertion et d’aide aux familles surendettées chapeautées par l’association sont également menacées.

"La réalité aujourd’hui, c’est qu’on ne sait pas encore si le mouvement Emmaüs va survivre à cette crise", a expliqué à l’AFP Valérie Fayard, directrice adjointe d’Emmaüs France. "On se bat pour ne pas abandonner les 20 000 personnes accueillies dans tout le mouvement Emmaüs, des personnes qui se sont reconstruites au sein des communautés ou des structures d’insertion qui vont peut-être tout perdre une deuxième fois."

"On a toujours refusé de faire appel aux dons d’argent, mais face à l’urgence sociale, on s’est inspiré de l’appel de l’abbé Pierre en 1954 pour appeler à nouveau à une insurrection de la bonté, comme il disait… Une vague de solidarité pour défendre ceux qui en ont le plus besoin", a ajouté Jean-François Maruszyczak, directeur général d’Emmaüs France.

Très divers, le mouvement soutient et accompagne de multiples publics précaires : sans-abri, chômeurs de longue durée, familles surendettées, personnes migrantes, sortants de prison, gens du voyage…

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• article du 18/04/2020
>> https://www.ouest-france.fr/confinement-pour-la-premiere-fois-de-son-histoire-emmaus-appelle-aux-dons-6811740
[ soutien : https://soutenir.emmaus-france.org/b/mon-don ]
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 Ouest-France
■ Une libraire vend le livre d’Eric Zemmour pour reverser l’argent à une association d’aide aux migrants (Ouest-France, 17/09/2021).
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Pour respecter « ses convictions personnelles », une libraire installée à Sully-sur-Loire dans le Loiret a décidé de reverser les bénéfices des ventes du dernier livre d’Eric Zemmour. La totalité de la recette ira à une association qui vient en aide aux migrants.
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« Je trouve que c’est un joli pied de nez aux idées de monsieur Zemmour ».
Aurélie Bouhours, gérante de la librairie 'Au temps des livres' à Sully-sur-Loire (Loiret), ne touchera pas un centime sur les ventes du dernier livre d’Eric Zemmour, 'La France n’a pas dit son dernier mot'. Comme l’ont repéré nos confrères de 'La République du Centre', la commerçante a choisi de reverser l’intégralité de cette recette à l’association La Maison d’Adam, qui vient en aide à des migrants.
Pour rappel, lors d’une « convention de la droite » organisée par des proches de l’ex-députée du Front national (devenu RN) Marion Maréchal en septembre 2019, l’ex-chroniqueur de CNEWS avait prononcé un discours fustigeant des immigrés "colonisateurs" et une "islamisation de la rue". Pour ces propos, Eric Zemmour avait été condamné à 10 000 € d’amende pour injure et provocation à la haine*.
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Contactée, la libraire nous assure ne pas avoir voulu attirer la lumière sur elle, ou être dans la provocation. La Loirétaine a posté un message sur les réseaux sociaux et a édité une affichette qui se trouve dans son commerce pour informer ses clients. "J’ai mes convictions personnelles", commente-t-elle. Alors qu’elle était encore bibliothécaire, elle s’était promis de ne jamais vendre un livre du polémiste. Elle avoue avoir été rattrapée "par la réalité" en ouvrant son magasin.
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Aurélie Bouhours ne voulait ni renier ses idées, ni empêcher ses clients d’acheter l’ouvrage, sorti jeudi 16 septembre : « On ne doit pas juger. Chacun fait ce qu’il veut. Je suis pour la pluralité des idées et il n’y a pas de mauvaises lectures », martèle-t-elle. Alors, elle a eu l’idée de venir en aide à cette association. « La présidente est une de mes clientes. En 2016, elle a accueilli douze migrants. »
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Depuis la sortie du livre, la propriétaire du magasin jure ne pas avoir eu de retours négatifs. Ses deux employées la soutiennent. La dizaine de personnes qui ont acheté le livre n’a fait aucune réflexion sur le choix d’Aurélie Bouhours. D’autres sont venus lui donner quelques euros pour l’association, mais sans repartir avec le texte signé de celui qui est pressenti pour être candidat à la présidentielle de 2022. Les premiers dons seront remis à la Maison d’Adam fin septembre.
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Même si elle assume totalement sa décision, la commerçante préfère rester discrète. « Les courageux, ce sont ces migrants. Moi je n’ai pas traversé la Méditerranée. » Touchée par leur sort, elle les a déjà rencontrés plusieurs fois. La libraire évoque Adam, qui "vient du Soudan. Sa famille a été massacrée. Il poursuit ses études", souligne-t-elle avant d’embrayer sur un autre jeune : "Lui est lumineux. Il a décroché un CAP paysagiste !"
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Aurélie Bouhours n’a pas prévenu Eric Zemmour de son geste. Et s’il venait à l’appeler pour lui en parler ? "Oh, je n’espère pas car si on débat on ne sera pas d’accord, s’exclame-t-elle en riant. En ce début de campagne présidentielle, il est important de rappeler qu’une des valeurs de la France est la fraternité… il y a la liberté également. Et j’ai la liberté de parler de ce que je veux."
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(*) Après une relaxe prononcée par la cour d’appel de Paris le 8 septembre, le parquet général a formé un pourvoi en cassation cette semaine.

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>> https://www.ouest-france.fr
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 Ouest-France
■ Rues au nom de négriers à La Rochelle : une association veut plus de pédagogie.
Une association demande à la mairie de la préfecture de Charente-Maritime d’ajouter des panneaux pédagogiques aux rues portant des noms de notables ayant fait fortune grâce à la traite négrière.
L’association 'Mémoires et Partages', basée à Bordeaux, lance [...] à La Rochelle l’opération « #expliquetaruedenegrier » visant à rappeler sur des rues baptisées du nom de certains armateurs leur rôle dans la traite des noirs.
« Six rues (de La Rochelle) honorent encore dans la ville les notables qui ont participé à ce crime contre l’humanité : Avenue Belin, Square Rasteau, rue Fleuriau, rue Admyrault, rue Giraudeau », rappelle l’association.
« Dans une perspective pédagogique », 'Mémoires et Partages' propose à la municipalité rochelaise d’installer des panneaux explicatifs dans chacune de ces rues « comme témoignage de notre volonté de ne pas oublier (...) de combattre les racismes et discriminations héritées et d’en tirer des enseignements pour l’avenir », explique-t-elle.
Elle donne rendez-vous à la population et aux élus locaux le 7 décembre [2017], Square Giraudeau, « baptisé du nom d’une de ses familles de négriers », à La Rochelle.
Le port de Charente-Maritime sera la première étape de cette campagne mémorielle avant trois autres ports ayant participé au commerce des esclaves : Le Havre le 9 janvier, Nantes le 18 janvier et Bordeaux le 17 février [2017].

>> https://www.ouest-france.fr/nouvelle-aquitaine/charente-maritime/rues-au-nom-de-negriers-la-rochelle-une-association-veut-plus-de-pedagogie-5427907
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 Ouest-France
■ Les perles des touristes à Saint-Malo : « À marée basse, la mer, elle est aspirée par le sable ? » - Marie Gasnier - 05/09/2021
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L’été s’achève. Les touristes s’en vont, laissant dans les souvenirs des commerçants leurs perles de la saison. Petit tour des questions et phrases drôles entendues cette saison à Saint-Malo.
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Restaurateurs, commerçants, hôteliers, moniteurs de voile… Tous sont confrontés chaque été aux questions parfois loufoques des touristes de passage à Saint-Malo. Maintenant que l’été est fini, ils nous ont fait part des anecdotes et phrases les plus étonnantes.
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Loup, bar… Lorsqu’on ne vit pas au bord de la mer, on sait que les apparences peuvent être parfois trompeuses. Dans les restaurants de fruits de mer situés Intra-muros, serveurs et cuisiniers s’amusent de la méconnaissance de certains clients.
« Vous auriez pu les faire plus grosses », a ainsi réclamé un client mécontent de la taille des moules, ne sachant sans doute pas, qu’à l’instar des poulets, il y en a des grosses et des plus petites, mais que le cuisinier peut difficilement les faire grandir dans sa cuisine.
Toujours à propos des moules, plusieurs restaurateurs se sont fait sermonner sur l’assaisonnement des moules souvent « trop salées ». Même réflexion pour les huîtres. Ce à quoi les serveurs ne peuvent que répondre : « C’est normal, ça vient de la mer. »
Heureusement qu’il n’y a pas que des clients exigeants, voire mauvais coucheurs. Il y en a aussi des curieux, qui, au moins, font rire les restaurateurs. C’est le cas de cette personne qui s’est demandé si « les crevettes grises [étaient] les bébés des crevettes roses ? » Pas facile de s’y retrouver parmi toutes ces espèces.
Autre catégorie de clients, celles et ceux qui ont bien raison d’aller au restaurant pour manger des fruits de mer pour éviter l’indigestion à la maison. En témoigne cette personne qui se demandait si « l’araignée se [mangeait] crue ou cuite ? ». Pas de quoi se moquer quand on sait que certains mangent les huîtres chaudes.
On connaît tous cette fameuse question sur la couleur du cheval blanc d’Henri IV. Eh bien pour la brandade de morue, c’est pareil. Que répondre à un client qui demande : « Il y a quoi comme poisson dans la brandade de morue ? » Bon à savoir, si on vous répond « du cabillaud », c’est le même animal.
Il n’y a pas que les poissons qui questionnent les vacanciers à Saint-Malo. La mer et ses marées sont une source inépuisable d’interrogations. Les différents acteurs de la plage de Bon-Secours ont entendu toute sorte de raisons à la « disparation » de la mer plusieurs fois par jour. « Aspirée par le sable » ; « disparue à cause du réchauffement climatique » ; ou encore, « rassemblée en un point au milieu de l’océan ».
D’autres, tout à fait au courant du système des marées, se sont quand même demandé « au bout de combien de jours est-ce que la mer [revenait] ? » Même problème pour ce couple qui souhaitait se rendre sur le Petit Bé. Après leur avoir expliqué que c’était impossible car la marée montait, surpris ils se sont demandé si « c’était tous les jours. »
Qu’ils soient rassurés, la mer n’a pas disparu, elle revient et ce, deux fois par jour pour dire bonjour !
Pour ceux qui ont eu la chance d’accéder au Petit Bé, non, ce n’est pas « le Mont Saint-Michel » comme le prétendait ce couple, le GPS de leur smartphone pointé en direction du fort. C’est sans compter sur la flopée de touristes persuadés qu’Intra-muros est un parc d’attractions. (...)

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>> https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-malo-35400
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 Ouest-France
"Et en plus, qu’est-ce qu’on va retenir de la vie de ces gens par rapport à l’énormité du mythe de Polanski ? Qui sont ces gens ? Ils sont minuscules", tance Lambert Wilson.
"Cette espèce de politiquement correct, je trouve que c’est du terrorisme."
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[ où l'on reste dans la 'fracture sociale', comme dirait l'autre, dans le contraste entre "ceux qui ont réussi" - intouchables, en plus, forcément -, et "ceux qui ne sont rien" ]

>> https://www.ouest-france.fr/culture/polanski-terrorisme-apres-les-cesar-lambert-wilson-denonce-un-lynchage-abominable-6762455
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Parmi les entremetteurs et les tenanciers, les femmes légères et les garagistes, la bibine et le ginger-ale... J'ai l'impression de tomber dans la rhétorique du tango.

Corto Maltese.
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Le dimanche de Pentecôte se déroule une fête populaire à Venise ; la Volalonga. C'est un marathon nautique organisé pour protester contre la multiplication des bateaux à moteur à Venise. N'importe quelle embarcation peut s'engager, pourvu qu'elle soit à rames ou pagaies.
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