Quand vous fermerez « J’ai vécu sur deux planètes », et si vous désirez approfondir les énigmes offertes à vos méditations, le traducteur se permet de signaler un autre ouvrage qu’il a traduit plus récemment et intitulé « La Cosmogonie d’Urantia». Il apporte aux habitants d’Urantia (notre planète) la connaissance du cosmos (univers) avec son nombre prodigieux de planètes habitées.
Les Atlantes vivaient sous un gouvernement se rapprochant d’une monarchie tempérée. Leur système reconnaissait un empereur élu, sans le moindre caractère héréditaire, et des ministres connus sous le nom de « Conseil des Nonante » ou « Princes du Royaume ». Tous ces officiels étaient nommés à vie, sauf révocation pour malfaisance. Ce terme était strictement défini, et les sanctions correspondantes sévèrement appliquées. Si haut placé que fût l’offenseur, il ne pouvait échapper au jeu de la loi.
Tout le monde avait la faculté d’entrer au Collège des Sciences, à celui d’Incal (prêtres), ou aux deux, sans distinction de race, de couleur, ni de sexe. On exigeait simplement que le candidat fût âgé de seize ans révolus et possédât une bonne éducation. Celle-ci pouvait s’obtenir dans les écoles ordinaires ou dans les classes primaires des collèges tels que le Xioquithlon, qui existaient dans les capitales de certains États atlantes : Nouméa, Terna, Idosa, Corosa. Elle pouvait même s’obtenir à l’école primaire de Marzéus, principal centre d’art et d’industrie de Poséid.