(...) nous vénérons un homme parce que nous admirons sa sagesse (prudentiam), son courage (fortitudinem), etc., cela vient (comme il est évident d'après la proposition même) de ce que nous imaginons que ces vertus lui appartiennent comme être singulier (inesse singulariter) et ne sont pas communes à notre nature ; et par conséquent nous ne les envierons pas plus qu'aux arbres la hauteur et aux lions le courage, etc. [p.235]