Sur le premier point, je réponds que l’Écriture une constamment d'un langage tout anthropomorphique, convenant au vulgaire auquel elle est destinée ; ce vulgaire est incapable de percevoir les vérités un peu hautes. C'est pourquoi, j'en suis persuadé, toutes les règles de vie, dont Dieu a révélé aux Prophètes que l'observation était nécessaire au salut, ont pris la forme de lois, et pour la même raison, les Prophètes ont forgé des paraboles.
(Lettre 2: Spinoza à Blyenbergh)