Je ris intérieurement de mes interrogations métaphysiques, mais demeure fasciné car, étrangement, sa composition générale me rappelle davantage un motif de peinture aborigène d'Australie qu'une roue de médecine Lakota ou un symbole mongol... Comment est-ce possible ? Seta accède-t-elle à un champ d'inspiration ou de vision intérieure, au-delà de sa culture d'adoption amérindienne, et même au-delà de ses origines asiatiques ? Serait-ce le signe d'une vie antérieure ? Et si oui, alors... de qui Seta est-elle la réincarnation ?