Citations de Voutch (131)
- Vous êtes un homme tellement odieux que si j’étais votre femme, je mettrai de l’arsenic dans votre thé.
- Eh, bien, si j’étais votre mari, je le boirais.
Winston Churchill
- Ce que nous souhaitons par-dessus tout, ta mère et moi, c’est :
1) que tu deviennes un adulte parfaitement équilibré et heureux de vivre
et
2) que tu nous dises quel effet ça fait.
- Tu descends acheter du pain, tu disparais sans la moindre explication pendant 14 ans et demi et tout ce que tu trouves à dire à ton retour, c’est :
la boulangerie était fermée ?
- Tu ne connais pas mes problèmes de femme ! Tu ne sais rien des femmes !
Tu ne comprends rien aux femmes ! D’ailleurs, tu n’es même pas une femme !
Difficile de dire le contraire...lorsque l'on est un homme !
- Est-ce que je peux te rappeler un peu plus tard ?
Je suis en entretien avec une veuve et son mari.
J’ai fait tomber mes lunettes. Un homme les a ramassées. Nos doigts se sont effleurés. Il sentait bon. Soudain, mon cœur s’est mis à battre fort, très fort. J’ai pensé : c’est lui. Puis, j’ai mis mes lunettes et j’ai pensé : pas sûr.
- Je vous rappelle plus tard. Je voudrais d’abord en parler tranquillement avec quelques-uns de mes collaborateurs : M. Clavier, M. Écran, Mlle Imprimante et M. Tiroir.
Prévenez tout le monde que j'annule la réunion du 25 décembre à 7h15 : on vient de m'informer de l'existence d'une fête religieuse à cette date.
Une seconde, Richard ! Avons nous suffisamment mesuré toutes les implications personnelles, familiales, économiques, géopolitiques et environnementales sous jacentes à court, moyen et long terme à l'achat de ces 18 merguez en promo ?
- Pour les beaux-pères, j’ai trouvé le truc. Quand il y en a un qui ne me plaît pas, je dis juste à maman qu’il me regarde d’un air très bizarre quand je mets mon maillot de bain et, pffffuit : au suivant.
Oui, Bernard, j'ai eu un orgasme. Mais par honnêteté, je dois également préciser qu'il s' agissait d'un orgasme de type "Bernard". (p.28)
Je vous aime presque autant que moi-même, Caroline. Croyez-moi, c’est énorme.
- Sache que je suis tout à fait prête à t’accepter tel que tu es, Julian. Mais d’abord, il faut que tu deviennes quelqu’un de complètement différent.
- Il paraît qu'ils sont en train de mettre au point de nouvelles tomates qui vont avoir un vrai goût de tomates.
- Tu veux dire : pas des tomates au goût de flotte, comme nous ?...
-... Des tomates comme avant qu'ils ne fassent n'importe quoi ?
- Ouiap. Des tomates avec un bon vieux goût de tomate.
- Quand on entend ça, comment ne pas se poser la question ?
- Quelle question ?
- Où s'arrêtera le génie humain ?
Tomates (p. 30)
Cette année, Chou, je voulais t’offrir quelque chose d’excessivement cher et finalement, j’ai trouvé : MOI.
[Bonnes fêtes de fin d'année à tous !]
- Deux radis sans beurre, 4 rondelles de tomate bio nature accompagnées de deux feuilles de salade sans sauce
et, pour Madame, une triple choucroute impériale avec supplément jarret.
Top ! Ça y est, je suis resté deux minutes sans rien faire du tout. Et maintenant, on fait quoi ?
Un matin de la semaine dernière, je me suis réveillé en me disant :"Tiens je m'achèterais bien un Van Gogh !" Et puis finalement, j'ai acheté un footballeur.
_ Je vais te dire un truc : on s'en tire pas si mal, finalement...
- Dans quel domaine ?
- Ben, au niveau de la mondialisation, par exemple... Faut reconnaître que nous les, bouses de vache, on n'est quasiment pas impactées.
- Pour l'instant.
- Pour l'instant.
Bouses (p. 16)
- Tu veux devenir pianiste de jazz, c'est bien ça ?
- C'est ça.
- Est-ce que tu as lu "Définir des objectifs réalisables" de H. W. Patterson ?
- Non.
- Je m'en doutais.
Patelles (p. 24)