Citations de Zviane (29)
— Comme une pièce de musique classique ! Les notes sont écrites, mais y a pas deux interprétations qui se ressemblent!
— Justement. J’vois ben plus la baise comme du jazz. Y a des standards, mais c’est d’abord basé sur l’impro.
(p. 91)
- Natashaaaa ! Eille 'scuuuuse j'peux-tu crasher chez vous, j'ai pus une cenne pour rentrer...
- Pis tu penses que tu vas n'avoir demain ? Hahaha ! J'ai déjà kekun su mon sofa, tu vas être obligé de v'nir dans mon litte !
- Mon ostie d'cochonne, toé !
Le fruit s’appelle de même (fruit de la passion) parce qu’on a associé plein d’éléments de la plante à des symboles bibliques.
Les trois pistils ont des têtes comme des clous
Le centre de la fleur est plein de filaments comme une couronne d’épines
Les feuilles et la liane sont pointues comme une lance
Le fruit de la passion renvoie donc à la passion du Christ
Ah ben batêche! c’est un cocktail religieux?
Quand on ne parle de mon enfance, on me répète que j’étais une braillarde et que j’étais insupportable. On m’a élevée en me disant que pleurer, c’était pour attirer l’attention. J’ai passé mon adolescence à me retenir de pleurer ou à pleurer en cachette. Parce qu’on ne pleure pas en public! C’est INDÉCENT!
Quand je consomme de l'art, je suis confrontée à comment quelqu'un d'autre a pris plein de petits morceaux de chaos et en a fait une organisation cohérente.
Les limites de ce que détermine un mot, elles ne concernent que la manière avec laquelle notre cerveau catégorise les choses. Ça n'existe pas à l'extérieur de notre tête.
Nous sommes prisonniers des noms que l'on donne aux constellations autour de nous. La réalité est à l'extérieur du langage, mais on ne peut penser que par lui.
Voilà, on est des amis, on se rend mutuellement service et c’est normal. Et comme des amis, on partage aussi des choses… comme par exemple… euh… ché pas, moi…
Tiens! T’aurais pas du cumin à me passer?
Tu n’as plus aucun temps libre!!! Tu n’as plus d’air, tu vis dans l’anticipation, t’en vient à nier le présent, dans une perpétuelle quête de … de validation …
Pas étonnant que l’université soit devenue une USINE À DÉPRESSIFS
Le nombre de PILULES qui se vendent dans les universités, tu n’y croirais pas !!!!!!!
Bon, j'espère que j'attendrais pas le bus trop longtemps. Il fait -1000 degrés dehors !
- Le ciel est mauve!
- Wow!
- J'ai une théorie là-dessus.
- Ah ouais?
- J'pense que le blanc réfléchit beaucoup la lumière... C'est le blanc de la neige qui réfléchit la lumière des lampadaires, qui rend le ciel mauve... vu que les lampadaires sont jaune-orangé. Je sais pas si tu comprends ce que je veux dire...
Tu pars une semaine.
Ils pourront arrêter de se retenir et parler dans ton dos allégrement.
L'histoire de l'humanité ne serait-elle pas qu'un looooooooooong malentendu?
J’ai été surprise par le nombre considérable de machines dans lesquelles on met de l’argent pour obtenir un cossin.
Les plus évidentes, c’est les distributrices de boissons. Y en a à chaque 2-3 coins de rue, des fois carrément dans l’entrée d’une maison résidentielle!!
J'ai les orteils gelés jusqu'au nombril.
- Tsé, le jour où tu seras vraiment amoureux...-hhh-qu'a l'aille le ventre mou, les dents croches ou les pieds qui puent-hhh hhh-ça va te passer dix pieds par-dessus la tête. Tsé... c'est pas-hhh hhh-c'est pas parce qu'une fille te fait bander que t'es-hhh hhh-que t'es amoureux, tsé. Non mais-hhh-chu sérieux, là-hhh-eille, attends deux-hhhhh-secondes, là...
- hhhhh
*Les jeunes - faites plus d'exercice et buvez moins de bière, sinon vous serez pas capables de tenir une conversation en montant sur un toit, comme des caves.*
- Drôle de journée, hein...
- Christine m'a crissé là pour Jasmin. J'ai perdu ma blonde pis mon meilleur ami.
Dans la forêt de ma tête, à force de prendre le même chemin, il se crée un sentier.
Plus je marche par là, plus le sentier est profond.
Mais dans un pays différent, je me retrouve un peu hors-piste.
Ha ha ha ha ha c’est horrible c’est l’fun
- La prochaine fois que j'ai pas envie de faire quelque chose... Ben j'ai juste à le faire un peu croche et tu vas le faire à ma place.
Pourquoi on en profite pas le temps que ça passe, sans avant, sans après ?
Je redoute toujours le jour où t'en auras assez. Tu vas juste arrêter de me répondre, sans autre explication.