Nationalité : France
Né(e) : 1994
Né(e) : 1994
Biographie :
Adella Jane Broochmitt
C’est le nom que je me suis choisi afin de vous partager mes écrits.
Je suis née en 1994 en région parisienne, je vis en Seine-et-Marne et je suis titulaire d’un diplôme dans le domaine de la santé.
Mon histoire avec l’écriture remonte à mon adolescence. Comme bon nombre d’enfants encore maintenant, j’ai été victime d’un harcèlement grave et, grâce à la réactivité de mes parents, j’ai pu changer d’établissement. L’écriture est devenue mon refuge, l’endroit où je me ressource.
Je choisis de la mettre de côté le temps de mes études (un temps assez long !) et une fois mon diplôme en poche, me revoilà devant mon ordinateur, à reprendre différents projets en suspens.
Malgré mes participations à différents concours littéraires et l’envoi à plusieurs maisons d’édition, j’essuie de nombreux refus, comme tant d’aspirants écrivains.
Face à l’engouement de mes proches et bêta-lecteurs pour mes récits, et surtout devant mon envie de réaliser mon rêve d’enfant, je me lance dans l’auto-édition avec un enthousiasme non modéré !
Ma routine d’écriture ?
Je me mets toujours dans une pièce fermée, seule et disposée à être dans ma bulle. Exit le café du coin pour écrire, je trouve cela intrusif.
Une bonne playlist de ma musique du moment (vous pouvez voir les playlists créées sur spotify pour chaque roman ici), un plaid sur les genoux, un café ou une tisane fumante, du chocolat noir et let’s go !
+ Voir plusAdella Jane Broochmitt
C’est le nom que je me suis choisi afin de vous partager mes écrits.
Je suis née en 1994 en région parisienne, je vis en Seine-et-Marne et je suis titulaire d’un diplôme dans le domaine de la santé.
Mon histoire avec l’écriture remonte à mon adolescence. Comme bon nombre d’enfants encore maintenant, j’ai été victime d’un harcèlement grave et, grâce à la réactivité de mes parents, j’ai pu changer d’établissement. L’écriture est devenue mon refuge, l’endroit où je me ressource.
Je choisis de la mettre de côté le temps de mes études (un temps assez long !) et une fois mon diplôme en poche, me revoilà devant mon ordinateur, à reprendre différents projets en suspens.
Malgré mes participations à différents concours littéraires et l’envoi à plusieurs maisons d’édition, j’essuie de nombreux refus, comme tant d’aspirants écrivains.
Face à l’engouement de mes proches et bêta-lecteurs pour mes récits, et surtout devant mon envie de réaliser mon rêve d’enfant, je me lance dans l’auto-édition avec un enthousiasme non modéré !
Ma routine d’écriture ?
Je me mets toujours dans une pièce fermée, seule et disposée à être dans ma bulle. Exit le café du coin pour écrire, je trouve cela intrusif.
Une bonne playlist de ma musique du moment (vous pouvez voir les playlists créées sur spotify pour chaque roman ici), un plaid sur les genoux, un café ou une tisane fumante, du chocolat noir et let’s go !
Source : https://www.ajbroochmitt.com/
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-J'ai dit non !
Son ton devint agressif mais cela ne parvint pas à la décourager. Elle serra le livre dans sa main.
- Que préfères-tu alors ? Que nous nous cachions jusqu'à la fin de nos jours ? Ou jusqu' à ce que l'Ordre mette la main sur moi?
Un frémissement agita sa lèvre. Son regard se fit plus sombre tandis qu'il se dressait devant elle.
– Oui, c'est exactement ce que nous ferons.
Elle lâcha un rire exaspéré.
Son ton devint agressif mais cela ne parvint pas à la décourager. Elle serra le livre dans sa main.
- Que préfères-tu alors ? Que nous nous cachions jusqu'à la fin de nos jours ? Ou jusqu' à ce que l'Ordre mette la main sur moi?
Un frémissement agita sa lèvre. Son regard se fit plus sombre tandis qu'il se dressait devant elle.
– Oui, c'est exactement ce que nous ferons.
Elle lâcha un rire exaspéré.
- Toute ma clique ? Nous ne sommes pas des assassins, contrairement à ce que tu penses. Ceux que tu chasses, nous les traquons aussi.
- Mais de quoi diable parles-tu ?
- Je te parle de ce sorcier que tu chassais hier soir, de cet ombre, que j'ai moi aussi traqué. Il n'est pas l'un des miens. Et moi aussi, je veux sa mort.
Elle lit dans son regard, la méfiance, la colère et la rage. Sans doute se sentait-il trahi par sa véritable nature ?
- Mais de quoi diable parles-tu ?
- Je te parle de ce sorcier que tu chassais hier soir, de cet ombre, que j'ai moi aussi traqué. Il n'est pas l'un des miens. Et moi aussi, je veux sa mort.
Elle lit dans son regard, la méfiance, la colère et la rage. Sans doute se sentait-il trahi par sa véritable nature ?
Ce qui me contrarie, c'est de réaliser à quel point la cruauté peut faire l'impasse sur la morale lorsque la vengeance dirige les Hommes.
« La triple déesse guide nos pas à travers chaque saison. À la lune montante, la jeune fille tu prieras. À la lune pleine, la mère tu prieras. À la lune descendante, l’aïeule tu prieras. Louée soit la Déesse mère qui veille sur nos récoltes et à notre bonne santé. »
- C'est comme une lame empoisonnée qui transperce mon coque. C'est brûlant, douloureux et suffocant. Tu me fais mal, Will. Tu me fais tellement mal. Le pire, c'est que je ne sais pas si tu en as conscience.
(...)
- Laisse-moi y succomber, murmura-t-il.
(...)
- Laisse-moi y succomber, murmura-t-il.
Elle ne ressemblait pas à la description des contes qu'on lui avait faite petite. Elle n'avait ni peau verte, ni pustules, ni verrues, ni doigts crochus ou gros nez. Elle avait les joues creusées par la famine, la peau translucide et froide, deux yeux bleus de glace perçants et plein de colère, ainsi que des dents blanches comme la lune. Marie ne comprenait pas. Cette jeune femme ne pouvait pas être une sorcière.
Ce n'était pourtant pas l'avis de la foule qui se mit à gronder de plus en plus fort.
- Sorcière!
- Brûle, ordure !
- Va en Enfer !
Ce n'était pourtant pas l'avis de la foule qui se mit à gronder de plus en plus fort.
- Sorcière!
- Brûle, ordure !
- Va en Enfer !
— Lorsque des sorciers s’aiment, ils se donnent mutuellement leur cœur. Ils ne vivront que pour l’un et pour l’autre. Will ressentit de légers picotements familiers lui parcourir l’échine et le bout des doigts.
— L’amour chez une sorcière, c’est extrêmement puissant.
— L’amour chez une sorcière, c’est extrêmement puissant.
Mais ce baiser n'avait rien de nous et romantique. Il était fort, puissant et vibrant. Cela lui faisait mal. Pas une douleur physique, mais une douleur profonde et impalpable. Une douleur lancinante qui transperçait son coeur d'une lame de glace.
M. Stevens, le proviseur du lycée de Blackstone- Millville, ressemblait à un oignon avec sa tête ovoïde et sa calvitie camouflée par trois mèches de cheveux aplaties sur son crâne. Du haut de ses un mètre cinquante,
Ce que vous appelez « amour » est une perte de temps. Les sentiments sont une perte de temps. Ils sont une faiblesse à laquelle vous vous raccrochez et qui ne vous apporte que des malheurs.
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