Même pour le scientifique le plus féru, les contours de ces temps reculés restaient vagues et mystérieux, la frontière entre légende et réalité, impossible à déterminer avec assurance. Peu s’y attardaient, parce que ce domaine reposait principalement sur des hypothèses et des spéculations, et les universitaires hésitaient à jouer avec des outils de cet ordre. La recherche historique se base sur des faits, et les faits concrets sur la bibliothèque d’Alexandrie manquaient sévèrement.