Si le cerveau fonctionnait à plein régime, le corps n’était plus du tout celui qui se planquait derrière des pulls trop grands et des pantalons trop larges. Parce que nous nous pensions libres, le corps ne pouvait que suivre le même chemin. Il n’y avait pas de corps dérangeant, il n’y avait pas de corps enfermé. Comme il était facile de se mettre nue !