Le chagrin déferle sur lui d'un coup, comme une interminable poursuite. "Je t'ai trouvé, hurle le chagrin triomphant. Tu es revenu dans la forêt et tu es à ma merci." Mais, presque aussitôt, à la manière d'une vague qui se brise et se retire, le chagrin recule, s'éloigne, s'estompe, laissant Jérôme plus seul que jamais.